Le 31 décembre, vous avez bu une (ou cinq) coupe de trop, embrassé vos pires ennemis sous le gui et prié pour que 2016 vous fasse plus mince qu'en 2015. Au même moment, Cristiano Ronaldo sortait sa tenue de lumière au restaurant, Johnny Hallyday posait en short sur Instagram et David Beckham embrassait « un individu » dans le noir.
Les people vous souhaitent une bonne année 2016
Comment les stars (ne) montrent (pas) leur bébé sur Instagram
Le 2 février, Marion Cotillard postait sa première photo de Marcel (bientôt 5 ans) sur Instagram. Enfin, la première photo de ses pieds. Parce que les célébrités aiment présenter leurs progénitures tout en les protégeant de la tornade médiatique, elles ont trouvé des stratagèmes (plus ou moins réussis) pour ne pas montrer leurs visages. Ainsi, en images, la main de North West, les doigts de pied de Blue Ivy Carter, le dos de Wyatt Kutcher...
La première photo de Saint West, le bébé de Kim Kardashian et Kanye West
Une photo de bébé qui dort et une laconique légende, « SAINT WEST ». Bref, Kim Kardashian a posté le premier cliché de son fils, né le 5 décembre 2015, sur Instagram. L'occasion de revenir sur les moults façons de présenter les baby vedettes sur les réseaux sociaux.
Sharon Stone célèbre ses 58 ans avec un selfie no make-up sur Instagram
Ce vendredi 11 mars, Sharon Stone fêtait ses 58 ans. À l'heure où de nombreuses personnalités n'osent encore s'afficher sans la moindre trace de maquillage, l'actrice américaine fait fi des préjugés et des potentielles critiques et n'hésite pas à se montrer sous son vrai visage.
Ce n'est pas une nouveauté mais plutôt une tendance qui se confirme : les stars sont de plus en plus à oser se montrer sans l'ombre d'un fard sur les réseaux sociaux. Instagram, qui est bien souvent le média favori des people pour dévoiler une parcelle de leur quotidien, a vu monter l'affluence des célébrités flirtant avec la mode du « no make-up ».
Si Sharon Stone, l'actrice émérite de Basic Instinct a renoué avec cette tendance le week-end dernier à l'occasion de son cinquante-huitième anniversaire, elle n'est pas pour autant étrangère aux selfies totalement nude. Et elle est loin d'être la seule : on se souvient notamment de Julia Roberts qui avait choisi en septembre dernier de poser sans maquillage (du moins, toujours moins maquillée que sur un tapis rouge) sur Instagram, afin de dénoncer les diktats de la beauté imposés par la société. Elle n'avait pas été la seule à franchir le pas du « no make-up » sur les réseaux sociaux puisque Cameron Diaz, Beyoncé, Jennifer Aniston ou encore Megan Fox avaient opté pour cette démarche du naturel, tout en étant moins engagées et revendicatrices. À l'instar de Jennifer Lopez qui est récemment apparue le visage totalement nu, sur Instagram également, dans une vidéo humoristique tournée en compagnie de son petit ami Casper Smart. On ne saurait que saluer cette volonté de la part des célébrités de se montrer sans artifice et d'oser jouer la carte du naturel auprès de leurs admirateurs. Une façon peut-être de se rapprocher du commun des mortels ?
Ces stars au naturel
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Instagram fait revivre la Fashion Week à 360°
Le réseau social adoré par la mode s’invite aux premières loges de la Fashion Week grâce aux hashtag #PFW et #ParisFashionWeek qui donneront accès à des vidéos exclusives. Prêtes à découvrir les street styles, podiums et backstages à travers les yeux des mannequins ?
Dior, Loewe, Balmain. La semaine de la mode parisienne bat son plein. Et Instagram n’est pas en reste puisque les journalistes, acheteurs et aficionados postent à tout va leurs instantanés. Mais pour la première fois, le réseau social préféré de la sphère mode ouvrira le 9 mars un portail vidéo dédié à la Paris Fashion Week. Tout en haut de la page de recherche, les hashtags #PFW ou #ParisFashionWeek donneront accès à des films exclusifs des coulisses des défilés, des podiums aux backstages, mais aussi des street styles inspirants. Et ce, captés directement par l’œil des mannequins et des influenceurs qui savent jouer avec les effets ralenti, accéléré, ou "boomerang" d’Instagram. L’occasion de redécouvrir à 360° l’effervescence de cette semaine de la mode. Entre le premier défilé de Demna Gvasalia à la direction artistique de Balenciaga, et le premier show Lanvin sans Alber Elbaz, on parie qu’on verra Kendall Jenner et Gigi Hadid chahuter avec Olivier Rousteing dans les coulisses de Balmain.
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Instapreneuses, un business en plein essor
Lifestyle, création, empowerment…, elles partageaient leur passion sur Instagram. L’engouement des followers les a conduites à transformer l’essai en business. Rencontre avec quatre pionnières qui cultivent la différence.
Pour les joindre, il faut maîtriser l’art du décalage horaire. Voire viser le créneau aéroport. « Je serai à Los Angeles, appelez-moi à 8 heures demain matin », répond l’une par e-mail. « Je suis au Portugal en pleine production, je vous appelle juste avant l’embarquement », précise une autre. Flexibilité maximale pour attraper au vol ces jeunes femmes inspirantes qui, un jour, ont décidé de s’inventer une autre vie professionnelle grâce à Instagram. Et ont ainsi lancé une nouvelle façon de créer son entreprise : sur son smartphone.
À l’origine, le digital (Instagram, les blogs) a surtout représenté pour elles une fenêtre sur le monde. Le moyen d’explorer et de partager une passion - le « do it yourself », l’amour d’une ville étrangère… Sauf qu’à chaque fois, le miracle s’est produit : leur nombre de followers n’a cessé de grandir, accros à leur style, voire leur lifestyle. Jusqu’à devenir une communauté. L’aventure digitale, destin 3.0, a fait le reste. Et leur a offert le luxe d’une vie sur mesure et d’un métier.
Car c’est un fait : on peut aujourd’hui créer une entreprise sur son smartphone, et presque depuis son canapé. En langage Instagram, on parle de « monétisation ». Celle-ci peut s’opérer de deux façons. Le plus souvent, les marques commencent à s’intéresser à l’activité d’une instagrameuse, à son style, et lui proposent des collaborations - placement de produits sur son compte, respectant un style et une patte ; carte blanche pour évoquer un lancement ou une expérience autour d’un grand nom. Certaines instapreneuses franchissent aussi directement le cap de la production, telles Lisa Gachet ou Morgane Sezalory qui proposent aujourd’hui leur propre marque de vêtements. L’exemple ultime ? l’Italienne (vivant à Los Angeles) Chiara Ferragni, 5,5 millions de followers, à la tête d’une marque de vêtements et d’accessoires affichant 20 millions d’euros annuels de C.A.
Un métier en train de s’inventer
Même si les États-Unis restent très en avance sur la France, le réseau social Instagram est devenu dans l’Hexagone un vrai marché. D’où l’apparition d’agences spécialisées, comme Wopawap, de Séverine Bourlet, qui construisent des ponts entre les grandes marques (Chanel, Dior, Louis Vuitton…) et les instagrameurs. « Là encore, il existe deux formes de collaboration, comme l’explique Séverine Bourlet. La plus classique est le placement de produit - la photo d’un sac, d’un parfum. Mais de plus en plus de palaces (Le Meurice, Four Seasons, Relais & Châteaux…), de compagnies aériennes ou même de stations de ski haut de gamme proposent plutôt aux instapreneurs d’assister à un événement privé. Les photos seront postées en ligne, et chaque cliché "monétisé" selon l’audience, de 50 € à 4 000 €. »
Comment dès lors garder son indépendance ? « C’est une question d’équilibre, puisque les instagrameuses mélangent ce type de collaboration au compte-gouttes avec leurs posts habituels, précise Séverine Bourlet. Certaines développent une activité rémunérée - consultante, photographe - ou une entreprise avec des salariés. » Voilà ce qui frappe chez les jeunes femmes que nous avons rencontrées : la façon empirique, quasi organique, qu’elles ont d’apprendre sur le tas un métier en train de s’inventer. Négocier un contrat, garder une intégrité face aux marques… Devenues amies via le réseau social, les instapreneuses s’échangent conseils financiers, juridiques et éditoriaux. Avec deux obsessions : ne pas se faire avoir, et ne pas trahir leur audience.
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Nouveau business, nouveaux codes ? « C’est le sens de l’histoire, note Philippe Hayat, associé fondateur de Serena, fonds d’investissement pour entreprises innovantes. Il y a dix ans, sept jeunes sur dix voulaient entrer dans la fonction publique, un sur deux veut désormais monter son projet. On crée environ 500 000 entreprises par an contre 180 000 il y a dix ans. » La crise a joué, la fin de l’emploi à vie aussi. « Le digital permet surtout de monter son entreprise de façon moins lourde administrativement, quasi gratuite - un compte Instagram ou un blog coûtent zéro euro -, et de tester des idées en direct. C’est ultra-efficace. »
Un partenariat pour garder le créatif
« J’y ai vu la possibilité de m’épanouir professionnellement en préservant une vraie place pour ma vie de famille », ajoute Morgane Sézalory fondatrice de la marque Sézane, enceinte de son deuxième enfant. À l’inverse, Lisa Gachet, Lily Rose ou Carin Olsson, sans charge de famille, vivent à mille à l’heure et multiplient les voyages, à la recherche des clichés qui tiendront leur audience en haleine (voir interviews). « Dans les deux cas, la pérennité de l’entreprise vient de l’aptitude à passer un cap pour ne pas s’essouffler », explique Philippe Hayat. S’entourer d’un directeur financier, structurer l’offre (est-ce que je propose un service ou des produits ? ou les deux ?), se mettre en partenariat avec un manager et un développeur pour se concentrer sur la partie créative… Pour cela, il faut se faire conseiller par les réseaux d’accompagnement (Entreprendre, France initiative, France active), les incubateurs (Numa, Halle Freyssinet, Incubateur de la Ville de Paris,TheFamily…). L’important, c’est de se laisser la possibilité de rester celle qui “dispute” le marché.
Carin Olsson, 24 ans, photographe
Avant :étudiante à Stockholm, elle s’envole une première fois pour quatre mois à Paris en 2012 – d’où le titre de son compte Instagram, @Parisinfourmonths. Y revient un an plus tard, commence à utiliser Instagram pour montrer la poésie de la ville à travers les yeux d’une étrangère qui en découvre chaque détail, fascinée. Peu à peu naît une esthétique, et une communauté qui grossit, adopte son style épuré tout en lumière blanche.
Après : en 2013, une de ses blogueuses préférées, Nicole Warne, la repère, lui demande de la photographier sur les Fashion Weeks de New York, Milan, Londres et Paris. Tout bascule. « Nos communautés se sont multipliées (son compte cumule aujourd’hui 840 000 abonnés). J’ai compris que je voulais devenir une full time photographer, pas seulement une fille avec mon appareil photo. Instagram est mon portfolio online, une fenêtre d’exposition sur le monde. »
En mode business : les marques (Gucci, Dior, Cartier, Boucheron, mais aussi Condé Nast Traveller, Four Seasons…) la contactent en tant que photographe. « Je suis aussi invitée à beaucoup de voyages de presse, on m’envoie des produits en espérant que je vais les photographier. Je ne poste que ce qui me plaît vraiment. »
Une vie en ligne : je travaille chez moi, le rêve serait d’avoir un studio – quand je sature je file dans un espace de coworking comme le Coworkshop dans le XIe.
Morgane Sézalory, 30 ans, fondatrice de la marque Sézane
Avant : autodidacte, elle décide après un bac en candidate libre de prendre un an pour réfléchir. Puis commence à vendre sur eBay les vêtements de sa sœur partie à Londres. C’était il y a douze ans. Ses photos détonnent par leur composition. Les ventes s’envolent. Et elle se découvre un talent pour la mise en scène, les pièces vintage sont présentées dans un univers à part. Le tout relayé sur son blog, Les Composantes, qui raconte les coulisses de l’aventure. « J’ai appris le stylisme ainsi, en réajustant des modèles vintage. » Très vite, le blog compte 50 000 lectrices… et propose 100 pièces uniques par mois.
Après : Morgane lance en 2013 Sézane, une marque de mode vendue uniquement en ligne, par collections capsules. Vingt références par collection, entre 300 et 500 pièces par modèle vendues à des prix accessibles (50 €). 300 000 femmes viennent égulièrement sur le journal en ligne du site. La jeune femme compte 150 000 followers sur son Instagram pro, 100 000 clientes uniques et entre 5 et 20 000 commandes par mois.
En mode business :« Je ne venais pas de la mode, je n’aurais jamais pu percer sans mon blog. Je ne savais pas si ce que je faisais pouvait avoir une valeur financière. J’ai avancé pas à pas : je ne réinvestissais que ce que je gagnais, et cela m’a permis de rester totalement autofinancée. Jusqu’à l’an dernier, j’ai exercé seule tous les métiers de l’entreprise. » Aujourd’hui, Sézane compte une quarantaine de salariés, dont deux stylistes.
Une vie en ligne : « J’ai travaillé durant mon voyage de noces, le jour de mon accouchement. Mais si je veux rentrer à la maison à 15 h 30 voir ma fille de 18 mois , c’est possible. C’est la force du digital : on peut faire grandir une famille tout en s’épanouissant au travail. »
Lisa Gachet, 27 ans, fondatrice de Make my lemonade
Avant : il y a quatre ans, Lisa, styliste, travaille pour YSL, Bonpoint…, et décide de créer un blog autour de sa passion : le do it yourself. « J’ai commencé à poster des photos façon pas-à-pas – avec possibilité de commander le patron en ligne. » L’audience enfle. Avec son amie Charlotte, aujourd’hui directrice éditoriale du site, elles rêvent les choses en grand. Une levée de fonds (auprès d’amis) plus tard, elles créent Wear Lemonade, site de vente en ligne de leurs créations.
Après : elles passent du statut d’EURL à celui de SAS, s’entourent. « La condition était que je ne fasse pas tout toute seule. Je ne suis pas douée pour l’administratif, partie que j’ai confiée à ma meilleure amie, en plus des RP de la marque. » Le site compte 170 000 abonnés et 15 000 visiteurs par jour, fonctionne autour de deux piliers : la vente de produits et la vente de services auprès des marques (workshops, posts sponsorisés, décors pour des lookbooks…). « Nous travaillons pour Petit Bateau, Asos, Urban Outfitters, Ikea ou Tara Jarmon. »
En mode business : en pleine croissance, Make my lemonade prépare sa seconde levée de fonds.
Une vie en ligne : aucun jour ne se ressemble, même si je travaille non-stop de 7 heures à 21 heures.
Lily Rose, 30 ans, photographe lifestyle et voyages
Avant : opticienne à Strasbourg, Lily Rose s’ennuie. En 2012, elle décide de partir huit mois en Australie. « De retour, j’ai commencé à poster sur Instagram mes photos de voyage. » Les followers affluent. « En 2014, je suis partie aux États-Unis pour rencontrer les instagrameurs qui m’inspirent le plus, et j’ai énormément progressé grâce à leurs conseils. » Quatre ans plus tard, elle affiche une audience de 198 000 followers, 2 000 vues par vidéo sur Snapchat.
Après : les marques s’intéressent à son audience comme à son regard, à ses clichés acidulés, végétaux, aux accents brésiliens. L’an dernier, Roger Vivier et Hermès, entre autres, lui donnent carte blanche pour des séries. Début 2016, La Prairie lui commande une série de photos sur le thème de la golden hour – nom du dernier produit. « Je travaille pour des hôtels, des lignes aériennes comme Turkish Airlines, l’office de tourisme d’Irlande. Avec le jet privé du Four Seasons, je pars tester le nouveau concept de Bora Bora. Mais je n’accepte jamais de placement de produit. Ce n’est jamais moi qui démarche les marques, et tout ce que je gagne, je le réinvestis dans mon travail. »
En mode business :« J’ai rencontré mes meilleurs amis sur Instagram. Ils m’ont appris à défendre mes intérêts, à négocier des contrats. Mais j’ai toujours peur que ça s’arrête. »
Une vie en ligne :« Les marques appellent souvent la veille pour le lendemain, il faut être disponible. En janvier, j’ai enchaîné New York, le Mexique, Hawaï, Bora Bora et Strasbourg. J’ai la chance d’avoir un conjoint qui me soutient à 100 % mais ce n’est pas toujours évident. En voyage, il faut se lever à 6 heures pour tout capter le lever du soleil, être à fond toute la journée, et le soir après le dîner, vers minuit, télécharger, retoucher, poster… »
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Libéré de prison, Jeremy Meeks devient enfin mannequin
La photo d’identité judiciaire de ce criminel américain avait séduit la Toile et conduit à la signature d’un contrat de mannequin. Après la case prison, Jeremy Meeks s’offre un nouveau départ dans la mode et peut-être même au cinéma.
Le criminel le plus recherché de la mode vient d’être libéré de prison. Au moment de son arrestation avec deux de ses complices par une équipe du FBI pour vol à main armée, Jeremy Ray Meeks n’échappe pas au traditionnel mugshot. Diffusée sur la page Facebook du commissariat de Stockton en Californie en juin 2014, sa photo d’identité judiciaire met aussitôt en émoi les réseaux sociaux. 100.000 j’aime, 15.000 partages et quelques détournements plus tard, son regard azur désabusé, son crâne rasé et ses tatouages sont repérés par l’agence de mannequin Blaze Modelz. Le bad boy trentenaire y signe un contrat de mannequin de 30.000 dollars tout en étant derrière les barreaux, où il purgera désormais sa peine avec des rêves de Fashion Week plein la tête.
L’échappé beau
Sa côte de popularité continue de grimper et lui permet de décrocher un contrat dans une plus grande agence, White Cross Management qui l’aide à gérer son nouveau compte Instagram, @JMeeksOfficial. « Chaque vendredi jusqu’à la libération de Jeremy, White Cross Management va répondre à toutes vos questions concernant ce #BeauCriminel », se vante l’agence sur l’Instagram du détenu qu’elle coanime sans gêne. Compte certifié, photos chaleureuses avec ses deux enfants qui ont hérité du même regard, accompagnées de légendes émouvantes sur sa soif de liberté, Jeremy Meeks maîtrise déjà parfaitement son image.
Le 10 mars 2016, le beau voyou annonce bien évidemment sa libération à ses 144.000 abonnés sur le réseau social préféré de la mode : « Je voudrais remercier ma famille et tout le monde pour votre amour, votre soutien et vos prières. Je suis submergé de reconnaissance à l’idée de ce qui m’attend désormais. Je suis prêt, Jim Jordan (son nouvel agent, NDLR). » D’après une interview donnée à BuzzFeed par son agent, un film serait même en préparation. Après le succès de Prison Break et celui d’Orange is the New Black, l’univers carcéral n’a dont pas fini de squatter nos écrans.
En images, les Very Important Prisonniers :
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Selena Gomez devient officiellement la personne la plus suivie sur Instagram
Avec ses 69,3 millions d’abonnés et plus de 1 000 photos publiées sur le réseau social, Selena Gomez devient la personne la plus suivie sur Instagram.
À 23 ans, Selena Gomez, actrice et chanteuse révélée par la télé américaine à l'âge de 7 ans, ex petite amie de l’adulé Justin Bieber, vient détrôner les personnalités jusqu’ici les plus populaires d'Instagram, comme Taylor Swift, Beyoncé ou encore Kim Kardashian (et par extension, toute la famille Jenner-Kardashian).
Pourtant ce nouveau record était un pari loin d’être gagné pour ses fans : il y a tout juste deux semaines, Selena Gomez menaçait justement de fermer son compte Instagram, lassée et énervée par les critiques redondantes dans les commentaires dont elle était sujette, et particulièrement ceux provenant des fans de son ex boyfriend, le susdit Justin Bieber.
Invitée exceptionnelle sur le plateau de « C à vous » (France 5) jeudi dernier aux côtés de Kad Merad et Patrick Bosso, Selena Gomez, l'artiste au 4,5 millions d’albums vendus dans le monde, s’exprimait de nouveau sur ses réticences envers « ce monde virtuel » dont il est, selon elle, « important de savoir se couper », ajoutant être victime de critiques depuis l’âge de 14 ans.
Une coupure qui, parions-le, n’aura pas lieu. Avec ce nouvel exploit sur la planète people, Selena Gomez ne renoncera pas de si tôt à ses chers « selenators » (petit nom donné à ses followers sur l’ensemble des réseaux sociaux).
Selena Gomez sur Instagram en dix clichés
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En plein accouchement, elle se maquille pour "jouer la carte du glamour"
Maquilleuse professionnelle basée à New York, Alaya Karimi partage tout sur son compte Instagram, ses créations comme les moments importants de sa vie. Le dernier en date ? La naissance de sa fille, immortalisée entre ses pinceaux et palettes de maquillage.
Capturer la naissance de son bébé, un événement qui s'étale de plus en plus sur les réseaux sociaux. Pour immortaliser cet instant avec perfection et le partager avec le reste du monde (une tendance qu'on appelle le « crowdbirthing », outre-Atlantique), une jeune maquilleuse professionnelle basée à New York a vu les choses en grand... tout en bravant la douleur de ses contractions.
Alors que sa fille, Sofia, est sur le point de pousser son premier cri, Alaya Karimi, a relevé un drôle de défi : se maquiller en plein accouchement. Son objectif ? Être prise en photo à l'instant même où son bébé lui sera mis entre les bras, quelques minutes seulement après lui avoir donné naissance. Une pratique de plus en plus courante chez les Américaines aisées, selon un article publié dans The New York Times.
Sur son compte Instagram, la maquilleuse précise que sa fille est née le 15 février dernier. Si elle garde le visage de son bébé caché, Alaha Karimi exhibe quant à elle sur son lit d'hôpital des cils vertigineux et des paupières pailletées, un teint incroyablement parfait et des lèvres pulpeuses et matifiées. « Beaucoup d’entre vous sont probablement en train de se poser des questions à propos de cette photo, LOL ! », a-t-elle ajouté, non sans humour. « Elle a été prise à la minute où Sofia a été mise dans mes bras, juste après l’accouchement. (...) Et oui, j’ai complètement jouéla carte du glamour… je posterai plus tard quelques clichés de moi en train de me maquiller pendant le travail. »
Effectivement, quelques jours plus tard, l'artiste maquilleuse a dévoilé les coulisses de cette séance photo un peu particulière.
« Il y a exactement trois semaines, j’étais en train de terminer mon maquillage pour accueillir l’arrivée de ma princesse. Et, oui, j’étais en train de me maquiller en plein accouchement ! J’ai profité des pauses entre chaque contraction pour reprendre mon maquillage là je l’avais laissé », raconte-t-elle avant de faire la liste de ses « produits favoris », emportés dans son sac d’hôpital.
Une performance coup de pub extrême qui fonctionne : les post Instagram d'Alaha Karimi ont été aimés par plus de 6000 utilisateurs d'Instagram en moyenne. Quant à la jeune femme, elle cumule près de 90.000 abonnés sur ce réseau social contre une petite centaine sur son compte Twitter.
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Mince comme une feuille A4 : la nouvelle obsession des Chinoises
Des internautes chinoises partagent sur les réseaux sociaux des clichés d'elles posant devant une feuille vierge de papier A4. Le but ? Faire disparaître la taille et les hanches et prouver ainsi à quel point elles sont minces.
Faire disparaître sa taille derrière un simple format A4, c'est le nouveau défi à la mode des internautes chinoises. Après le « face-kini », cette étrange tendance a été baptisée « A4 waist challenge » et consiste à se faire prendre en photo une feuille blanche de 21 cm x 29,7 cm tenue à la verticale devant soi et au niveau du nombril.
Si vos formes disparaissent, vous prouvez que votre taille fait moins de 20 centimètres, la largeur du bout de papier, et que votre silhouette est aussi mince que celle d'un mannequin lors d'un défilé de mode.
Selon Mashable, le hashtag #A4waist connaît un véritable succès sur Weibo, le Facebook made in China, où plusieurs millions de photos y ont été postées. D'autres internautes ont alors suivi le mouvement, sur Instagram, notamment.
Mais ce défi n'est pas toujours approuvé. Sur Twitter par exemple, certains utilisateurs le jugent « idiot » tandis que d'autres l'accusent de promouvoir une vision irréaliste du corps de la femme, et donc d'encourager les comportements dangereux, notamment parmi les jeunes filles. « Ce défi n'est pas seulement dangereux mais il est stupide. Qu'est-ce qui empêche quelqu'un de poser avec une feuille A3 et de mentir ? Ce sont les mêmes proportions, ça ne prouve rien », écrit cette Londonienne.
D'autres, enfin, se sont emparés du défi pour le détourner avec humour ou dans des messages plus engagés. « Vous n'avez pas besoin d'une feuille A4 pour prouver que vous êtes belles », peut-on lire ci-dessous.
« Trop de pression », s'insurge aussi un utilisateur sur Instagram.
Enfin, parfois, pour exprimer un désaccord, les mots se révèlent superflus...
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Cruz Beckham chante a capella "When I'm gone"
David Beckham joue le « proud daddy » et partage une nouvelle vidéo de son fils cadet Cruz sur son compte Instagram.
Y aurait-il définitivement un héritier de Justin Bieber dans la famille Beckham ? Une semaine après la vidéo postée par Victoria Beckham, où l'on voyait son troisième garçon de 11 ans interpréter Hopeful, de Twist et Faith Evans, c'est sur le compte Instagram de son papa que l'on retrouve Cruz Beckham et sa voix d'angelot. David Beckham a partagé la vidéo le 18 avril, légendant tendrement : « Regardez mon petit homme... Ridiculement mignon. Et la joie sur son visage quand il voit que ça nous fait sourire ». Bien sûr, toute la famille, @victoriabeckham, @brooklynbeckham, @cruz_d_beckham et @romeojames1234, est taggée pour l'occasion.
Sur la susdite vidéo, le jeune garçon apparaît torse nu, bonnet vissé sur la tête, avant de se lancer dans son petit show a capella. Il reprend la chanson When I'm Gone, interprétée par l’actrice Anna Kendrick dans le premier opus de Pitch Perfect. Pour battre le rythme ? Un gobelet qu'il fait tourner et rebondir sur la table de jardin en teck, et ses petites mains qui claquent. Son sens du rythme maîtrisé contraste avec sa voix d'ange qui n'a pas encore mué. On entend le petit cri d'émotion de Victoria Beckham à la fin du spectacle. Cruz Beckham est doué, la vidéo a déjà été « aimée » 740.000 fois.
Beckham, le nouveau Bieber
À 11 ans, il devient incontestable que le dernier mâle du clan Beckham a sa voix pour atout. Bien sûr, les mini-midinettes s'arrachent déjà les photos de son corps de très jeune apollon et de sa mèche affriolante. Cruz Beckham, le prochain Justin Bieber ? Ce ne devrait pas tellement déplaire à Posh.
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Instagram : quand Barbie se moque des selfies de certains humanitaires
Le compte Instagram @barbiesavior qui dénonce l'usage des réseaux sociaux par certains humanitaires.
Après le compte Instagram Socality Barbie qui se moquait des hipsters et de la mise en scène de leur quotidien sur les réseaux, c’est au tour de Barbie Savior de prendre le relais.
Depuis le 8 mars 2016, le compte Instagram @barbiesavior suit le quotidien d’une poupée Barbie de 20 ans et de couleur blanche en voyage humanitaire en Afrique. Le problème est que notre jolie poupée poste à longueur de journée des selfies et des commentaires de chacune de ses actions en vue de se valoriser. Ce qui est évidemment légèrement critiquable. Aux États-Unis, ce comportement à même un nom : le « white savior complex » soit le « complexe du sauveur blanc ».
L’expérience qui parle
Les deux créatrices du compte, qui ont souhaité rester anonymes, se décrivent comme deux jeunes femmes blanches qui se moquent d'abord d’elles-mêmes. Elles se sont en effet inspirées de leurs propres expériences de bénévolat sur le continent africain ainsi que de leurs erreurs. « On n'a jamais été aussi "maladroites" que Barbie Savior, mais nous avons fait des choses similaires que nous regrettons », confient-elles au site du Huffington Post. Elles précisent également qu’elles ne souhaitent en aucun cas stigmatiser l'ensemble des humanitaires mais qu’il est primordial d’alerter sur certaines dérives.
Parmi les comportements répréhensibles que désigne le compte Instagram, on retrouve le paradoxe de certains humanitaires qui entretiennent leur image et veille à ce que leurs tenues resplendissent alors qu'ils se trouvent en zone de conflit, face à des personnes défavorisées. Ce que Barbie Savior reproduit à merveille.
Double message
Outre le problème des réseaux sociaux, les deux jeunes femmes dénoncent également l’attitude souvent réductrice de certains Occidentaux à l’égard du continent africain. « L'idée que l'Afrique doit être sauvée par les Occidentaux remonte à la colonisation. C'est une vision vraiment simpliste de tout un continent. » Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la problématique de l’ethnocentrisme serait donc toujours d’actualité selon les deux protagonistes qui souhaitent voir se développer des débats sur le sujet et qui défendent ardemment l'utilité de leur compte Instagram.
Les meilleures photos du compte Barbie Savior
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#MadameAime : la routine beauté Uriage
Pour le retour des beaux jours, Madame Figaro et Uriage vous offrent votre routine beauté ultra hydratante. Pour tenter votre chance rendez-vous sur notre compte Instagram
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À propos d'Uriage
Depuis 1992, les Laboratoires Dermatologiques d’Uriage, s’engagent à répondre aux besoins de toutes les peaux mêmes les plus sensibles, en proposant des soins conçus pour préserver la santé de la peau fondés sur une expertise dermatologique reconnue internationnalement.
Règlement du concours #MadameAime
Concours ouvert du 20 mai au 3 juin 2016.
Règlement disponible sur simple demande à l’adresse suivante : Le Figaro.fr/madame, « Madame & Uriage », 14 boulevard Haussmann, 75009 Paris.
Cheveux afro : Solange Knowles, Zoë Kravitz... dix comptes Instagram pour s'inspirer
Ces femmes métissées ont du style et le montrent en ligne. Tour d'horizon de dix comptes Instagram inspirés, à suivre d'urgence.
Elles sont mannequins, chanteuses, blogueuses, actrices ou artistes. Sur leurs comptes Instagram, ces jeunes femmes éblouissent par leur style d'inspiration afro. Tenues, accessoires, coupes et maquillages sont exposés à leurs milliers d'abonnés à travers des clichés retraçants looks, voyages et art.
Solange, Zoë, Amandla...
Parmi cette avant-garde, on retrouve Solange Knowles, soeur de Beyoncé. La reine du style –qui nous avaient éblouies avec son mariage « presque trop parfait »– pose dans ses ensembles rose, violet, orange ou bleu et nous embarque dans un univers addictif où les couleurs s'accumulent sans jamais se mélanger. Zoë Kravitz, fille et Lenny et visage des maisons Balenciaga et Calvin Klein, s'amuse à changer d'apparence. Souvent glamour, elle peut parfois virer grunge (elle est la chanteuse du groupe Lolawolf) ou se la jouer tapis rouge.
Visage du nouveau parfum (Pop) de Stella McCartney, Amandla Stenberg, 17 ans, partage l'affiche avec Lourdes Leon - fille de Madonna -, la chanteuse canadienne Grimes, et enfin Kenya Kinski-Jones, fille de l'actrice allemande Nastassja Kinski et du musicien Quincy Jones.
Comment ne pas mentionner les irrésistibles jumelles Quann ? Cheveux massifs, parures somptueuses et style détonnant alliant subtilement le vintage avec le cuir et les bijoux... Un sans-faute que l'on retrouve sur les pages des plus prestigieux magazines de mode.
Les dix comptes Instagram à suivre :
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Shakira (gentiment) moquée par son mari en plein selfie
Vent, soleil... Quand on s'appelle Shakira, on est patiente pour capter le selfie parfait. Le risque ? Avoir un mari un brin taquin qui vous filme lors de vos multiples tentatives.
Les célébrités ont la vie dure. Le 9 juillet, la chanteuse colombienne Shakira et son mari footballeur Gerard Piqué sont partis en week-end. Moment que la jolie blonde a évidemment souhaité immortaliser avant de le partager avec ses fans sur Instagram.
Problème ? Pas facile de trouver l'angle idéal pour la photo parfaite quand le vent souffle et que l'on a une longue crinière. Moment de solitude, que tout adepte du selfie a connu au moins une fois dans sa vie, et que Gerard Piqué n'a pas manqué de filmer pour se moquer, avec tendresse, de sa femme.
Caméra cachée
Assis dans sa voiture, le footballeur espagnol pointe discrètement l'objectif sur sa belle en commentant avec amusement : « Elle tente de prendre une photo. Ça fait 30 minutes que j'attends dans la voiture ». Quand Shakira s'aperçoit qu'elle est filmée, elle lance un petit : « Ne te moque pas de moi » à son époux, qui s'empresse de rire.
Pas rancunière, Shakira a immédiatement posté le fameux selfie en annonçant dans la légende : « Restez connectés. Les coulisses de ce selfie ne vont pas tarder ». Effectivement, la vidéo captée par Gerard Piqué a suivi, et a depuis été visionnée 1.8 millions de fois.
Le selfie de Shakira...
Et son making of
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Carla Bruni VS Julie Gayet : qui est la meilleure sur Instagram ?
Carla Bruni a débarqué sur Instagram il y a un mois. Julie Gayet y est depuis quatre ans. On fait le match des premières dames sur les réseaux sociaux.
Carla Bruni-Sarkozy est arrivée sur Instagram le 29 juin 2016, soit il y a à peine un mois. Promo en grande pompe pour son nouvel album à venir ou positionnement en vue de la présidentielle de 2017 ? Les mauvaises langues évoqueront une déclaration de guerre à Julie Gayet, compagne de l'actuel président François Hollande, et probable candidat à sa propre succession. L'actrice française est pour sa part présente sur le réseau social depuis le 22 juillet 2012, soit 208 semaines. Autrement dit, Carla B. a quatre années de « retard » sur Julie G.. Mais comme les deux artistes partagent la vie d'un homme politique, à Paris, tout en étant relativement discrète dans les médias, ça valait bien une battle Instagram.
Sincérité de la démarche
Carla Bruni : 3/10,peu crédible.
Nous sommes à quatre mois des primaires du parti Les Républicains. Pour espérer être en lice dans la course à l'Elysée, Nicolas Sarkozy, son époux, doit impérativement remporter ce premier round. Pour ce faire, tous les moyens sont bons. Et hop, Carla crée son compte Instagram @carlabruniofficial, nourri de jolies photos de ses amis, sa famille et de sa vie passée : elle mannequin, elle jouant de la guitare, elle dénudée... Une vitrine simple et sympathique qui pourrait laisser entendre : « Si je suis cool, mon mari l'est aussi. Votez pour lui. » Carla, nous ne sommes pas dupes.
Julie Gayet : 9/10, réelle.
Julie Gayet a lancé son compte officiel @iamjuliegayet avec une photo d'elle planquée derrière téléphone et ordinateur portables. À l'époque, François Hollande vient d'être élu président de la République, la première dame officielle se prénomme Valérie Trierweiler et l'actrice est vaguement connue pour ses rôles dans des-films-dont-on-ne-se-souvient-pas-du-nom. Pas de « Trierweilergate », ni de scooter, ni de « merci pour ce moment ». Novice, Julie Gayet poste des photos sans hashtag et sans légende. Conclusion : elle n'a pas de stratégie, juste envie de faire du tourisme digital.
Cote de popularité
Carla Bruni : 8/10, prometteur.
Mettez la clim pour l'ex-première dame. Présente depuis seulement quelques semaines sur Instagram, Carla a déjà mis à ses pieds 20.000 abonnés en les abreuvant de 35 publications. Son plus mauvais post a récolté 704 « Like », quand ses vidéos sont visionnées en moyenne 5000 fois. Chapeau.
Julie Gayet : 4/10, en berne.
En l'espace de quatre ans, l'actrice n'a fédéré que 4180 abonnés, avec 122 publications. Pis, entre janvier 2013 et décembre 2015, l'actrice boude le réseau. Aucune de ses photos n'a été likée plus de 300 fois. Le coup de grâce tombe quand un internaute lui précise qu'il faut utiliser le signe dièse (#, hashtag) et non l'arobase (@) pour tagguer ses posts. Bref, c'est un désastre.
Dose de glamour
Carla Bruni : 7/10, haute.
Parcourir l'Instagram de Carla Bruni, c'est pénétrer dans une famille italienne d'artistes (papa compositeur, maman pianiste, sœur actrice), une jeunesse de mannequin aux côtés de Farida Khelfa, Naomi Campbell, Laetitia Casta et Gianni Versace. Des mots doux en italien, des souvenirs ensoleillés de bord de plage, de catwalks prestigieux et des portraits pris par Helmut Newton et Ellen von Unwerth... L'Insta de Carla B. brille de mille feux.
Julie Gayet : 4/10, modeste.
C'est une fille (presque) « normale » qui a une vie (presque) « normale ». Elle photographie - sans faire la mise au point - ses lectures du moment, son vélo garé dans la rue, le couloir de l'avion, l'autoroute et les bons moments du festival SunSète. Qui va de temps à autre à des défilés plus ou moins cotés (Felipe Oliveira Baptista, Alexis Mabille et Dévastée), pose avec ses amis du cinéma français Julie Depardieu, Agnès Varda et Raphaël Personnaz et américain, comme ici avec Susan Sarandon, à Cannes.
Potentiel fun
Carla Bruni : 2/10, timide.
En dehors d'une photographie d'elle pieds dans l'eau, avec masque et tuba fixés sur le visage, Carla Bruni ne vous fera pas mourir de rire sur les réseaux. La chanteuse se contente de poster des photos vintage, et des souvenirs sur papier glacé. Rien de bien spontané, voire un brin de mélancolie.
Julie Gayet : 1/10, hors-sujet.
Sur Instagram, Julie Gayet immortalise pour sa part des projections en avant-première de ses films dans les salles obscures d'Angoulême, va manifester en famille place de la Bastille, prend des selfies avec ses amis mal rasés, lit des scénarios avec un éclairage vascillant et fait la revue de presse des films « sociaux » qu'elle aime tant produire. Un côté intello assumé, mais qui n'attire pas l'œil - la base, tout de même, sur Instagram.
Portion de croustillant
Carla Bruni : 7/10, en croissance.
Depuis la photo aux seins nus, le soufflé est retombé. L'univers de Carla Bruni manque de vie « réelle ». Le 18 juillet, sursaut : la chanteuse partage une photo de la dense et blonde chevelure de sa fille, Giulia Sarkozy. L'enfant, dont on ne voit jamais le visage, crée le buzz. Carla Bruni, reine du teasing ?
Julie Gayet : 0/10, inexistante.
Rien. Nada. La compagne de François Hollande a tenu à le préciser dans son entête : elle est « comédienne et productrice », point barre. Vous n'aurez pas une mèche de cheveux de François Hollande, ni un seul cliché pornfood des plats mijotés à l'Élysée, à se mettre sous la dent.
Conclusion
Avantage Carla Bruni. Une vie sous les flashes et quatre ans à l'Élysée ont fait son éducation : l'ex-mannequin et actrice connaît les médias, les belles images et les paramètres d'un buzz réussi. Julie Gayet a du potentiel, mais l'actrice devenue productrice préfère rester dans les coulisses. Tête d'affiche d'une couverture de Closer malgré elle, elle n'aspire qu'à retrouver sa vie (presque) « normale ».
Carla Bruni vs. Julie Gayet : le match Instagram
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Cinq astuces pour réussir ses photos sur la plage
Après une année de frustration, à notre tour de parader sur la plage de Juan-les-Pins et de le faire savoir sur les réseaux sociaux. Mais comment réussir à tout prix ses photos sur le sable ?
Nous avons enfin les doigts de pied en éventail, couchée sur le sable, la peau chauffée par le soleil. Après une année de frustration devant l'écran, à faire dérouler le fil Instagram de photos de baignades en eaux cristallines, de selfies coucher de soleil, de roues faites sur le sable, de corps sculptés et bronzés... voici venu le temps de faire un peu baver les autres à notre tour. Si on sait désormais se tenir comme une déesse sur notre serviette, comment réussir ses photos sur la plageà l'image de celles des personnalités ?
De l'art de se cambrer
Pour s'assurer une photo à plus de 11 likes (ne soyons pas trop ambitieuses), la cambrure serait la clé d'un cliché en maillot à succès : « Il y a bien sûr de meilleurs angles de vues que d'autres. Que je sois debout, de profil ou sur le ventre, je relève un peu les fesses de façon à créer une belle cambrure dans le dos. Il faut aussi constamment penser à contracter les muscles de son estomac », révèle Emily Ratajkowski au Elle US. Alors si on a envie de ressembler aux filles qui pullulent sur Instagram en maillot, on relève un peu les fesses, on bombe sa poitrine et on serre les abdos. Sinon, on mise sur le naturel, une photo avec un sourire vaut tous les abdos du monde.
Exposition plein sud
Mais parce que nous n'avons pas forcément la plastique de la belle, on optimise ses chances d'obtenir un cliché qui fait l'unanimité en choisissant son axe d'exposition. Prise de vue face au soleil ? Une bonne idée pour baigner notre visage et ses quelques petites imperfections de lumière, mais gare à l'ombre de notre bras tendu tenant le téléphone, ainsi qu'à la possible sudation de la moustache (à quand le filtre magique pour cet impair photogénique ?!).
Les yeux dans le bleu
On préfèrera donc l'option contre-jour, l'ombre cachant les reliefs de notre petit ventre ainsi que les cernes. Et pour celles qui voudraient assortir leurs yeux turquoise aux eaux translucides, on garde sa casquette ou sa capeline sur la tête pour éviter l'effet yeux plissés.
Selfie, c'est fini
N'étions-nous pas devenue anti-selfie depuis 2015 ? On profite de ces quelques semaines à l'étranger ou loin de chez soi pour décoller l'objectif de notre visage et de nos nouvelles taches de rousseur. Pour être jalousée, on réinvente plutôt la suggestion : il sera ainsi beaucoup plus facile de dire qu'il a fait un temps superbe durant quinze jours alors qu'un orage a ruiné l'eau de la piscine.
No Wifi
Enfin, qu'on se le dise, personne ne nous en voudra de déconnecter et d'oublier d'immortaliser notre nouveau bikini pour profiter in real life de ces vacances tant attendues. Pour vivre des vacances heureuses, vivons cachées !
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Une blogueuse fitness prouve que le poids sur la balance ne veut rien dire
La blogueuse Kelsey démontre que le poids affiché par la balance ne veut rien dire, en postant des photos de l'évolution de son corps. Plus musclée et plus gainée, elle pèse plus qu'auparavant.
C'est l'ennemie numéro 1 de toute femme scrutant son poids régulièrement. L'aiguille de la balance ne voudrait pourtant pas dire grand chose selon pléthore de fitness girls. Depuis quelques temps, ces femmes dont la blogueuse Kelsey essaient par tous les moyens de démontrer que le poids n'a rien à voir avec la perception que l'on peut avoir de son corps.
Sur son compte Instagram, Kelsey a publié une photo d'elle montrant l'évolution de son corps, ainsi que celle de son poids sur une période où elle a pratiqué beaucoup de sport. Pesant 65,7 kg au début de l'expérience, elle passe ensuite à 55,3 kg pour finalement peser 63,5 kg. Rien d'étonnant quand on sait que le muscle est plus lourd que la masse graisseuse et que l'on passe par une phase de séchage avant que le muscle ne se développe vraiment. « S'il vous plaît, arrêtez de penser que votre poids est égal à vos progrès et arrêtez de laisser votre poids affecter votre estime de vous-même », a-t-elle adressé à ses quelque 396.000 abonnés.
Elle publie également une photo de sa silhouette vue de dos en commentant : « Je n'ai jamais eu autant de muscles et aussi peu de gras ». Tout en précisant qu'elle pèse désormais seulement 2 kg de moins qu'avant le début de sa transformation.
Moins culpabilisante que l’obsession de la balance et du sacro-saint ratio taille/poids, la nouvelle quête de la minceur porte donc sur la silhouette. Fermeté, galbe, texture de la peau sont donc plus que jamais le nerf de la guerre. Et ce sans les excès de régimes non contrôlés ni les dérives maladives de troubles du comportement alimentaires. « Il n’y a pas de beauté standardisée, nous affirmait Martine de Richeville, prêtresse en la matière en 2015. La beauté repose avant tout sur un corps délié, un visage serein et une posture harmonieuse. L’objectif est donc de réconcilier la personne avec son corps, ce qui aura une incidence positive sur le reste de sa vie en général. » Car aujourd’hui, arrondir une hanche, affiner une taille, sculpter le bombé d’une fesse suffit à embellir une silhouette et à faire le poids... sur la plage.
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Instagram : Miquela, la it-girl virtuelle qui fascine les internautes
Elle est suivie par près de 60.000 personnes sur Instagram. Les abonnés de Miquela cherchent à comprendre : qui est ce personnage virtuel à la vie bien trop réelle ?
Miquela a posté son premier cliché il y a 12 semaines sur Instagram. Depuis, plus de 60.000 personnes suivent sa frange brune, son regard de biche, ses tâches de rousseur et ses dents du bonheur. Cette jeune femme d'une vingtaine d'années est une sorte de it-girl californienne du web qui partage sur son compte selfies, coups de coeur shopping et autres sorties entre copines dans les lieux branchés de Los Angeles, aux États-Unis. Sauf que Miquela n'est pas une Instagrammeuse comme les autres : c'est une créature numérique. Une sorte d'avatar ultra-réaliste et extrêmement intriguante.
Pourquoi elle fascine... ou dérange ?
Le personnage de Miquela est-il l'oeuvre d'un artiste ou un simple Sim ? La question fait débat parmi les internautes. La jeune utilisatrice a beau ne pas être réelle, il y a quelque chose d'étrange dans son compte Instagram. Au fur et à mesure des 65 publications postées à ce jour, l'internaute découvre un univers et un quotidien méticuleusement documenté. Miquela semble alors incarner le rôle d'une aspirante mannequin/actrice/chanteuse/influenseuse qui transforme sa vie quotidienne en véritable marque. Avec pour but : être repérée par des chasseurs de tête peut-être ?
Ainsi Miquela - un prénom rare, associé au romantisme et à la sagesse et surtout donné en Espagne - apparaît comme une jeune femme ancrée dans des codes socio-culturels particuliers. Elle cite le rappeur Franck Ocean, fait partie du fan club de l'acteur Leonardo DiCaprio, joue probablement à Pokemon Go et adopte les pauses lascives des jeunes femmes peuplant les réseaux sociaux... Miquela se montre en effet toujours parfaitement maquillée, ses tenues sont savemment étudiées, elle est entourée d'une bande de copines artistes ou mannequins et qui, pour le coup, elles sont bien réelles. Ce mélange des genres n'a cesse d'intriguer ses abonnés qui se demandent en boucle : et si « Miquela était réelle » ?
Les différentes pistes
Pour brouiller les pistes, Miquela a ouvert, en plus de son profil Instagram, non pas un mais deux comptes Twitter. Dans sa bio, elle souligne avec humour « [qu'elle] ne [sait] pas comment utiliser » ce réseau social. Mais affirme qu'elle est bel et bien « réelle » et non pas un « Sim », comme s'amusent à la dire certains internautes.
D'autres suggèrent qu'il s'agit d'une vraie jeune femme, habile du clavier et de la souris, qui retoucherait son propre corps pour lui donner cette apparence numérique. Enfin, une dernière hypothèse avance l'idée qu'il s'agit d'une création 100% numérique, réalisée par un ou une graphiste en pleine démarche artistique.
Comme le souligne le site américain Dazed, Miquela interroge quiconque l'observe sur les apparences sur les réseaux sociaux, et les frontières entre le vrai et le faux. Le « projet Miquela » rappelle en effet celui d'Amalia Ulman. Intitulé « Excellences & Perfections », l'artiste argentine s'était construit une vie totalement fictive sur Instagram et Facebook, postant alors des portraits d'elle et des clichés de sa vie n'ayant aucun rapport avec sa personnalité « dans la vraie vie ». Si on a encore du mal à desceller la démarche artistique de @lilmiquela, on peut en revanche constater un dernier détail : son compte renvoie vers une page de don à l'attention de planning familal américain. Miquela, une activiste 2.0 ?
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Aicha Amal : le profil Facebook qui inquiète les Marocaines en bikini
Aicha Amal publie sur son compte Facebook des photos de Marocaines en maillot de bain. Son objectif : dénoncer le vice et la débauche. Les Internautes s'indignent.
C'est un « projet photo » qui fait froid dans le dos. Sur le compte Facebook d'une certaine Aicha Amal - aujourd'hui suspendu - on trouve des photos de femmes sur les plages du Maroc. Elles se baignent, bronzent sur leur serviette de bain, lisent un livre dans une tenue qui paraît banale sur une plage de Rabat ou de Casablanca : le maillot de bain. Pourtant, c'est bien contre ces bouts de tissu que s'en prennent les personnes qui se cachent derrière le compte d'Aicha Amal, auto-proclamés « gardiens de la morale et justiciers des plages ». Pour eux en effet, ces clichés, publiés en ligne sans aucune autorisation, n'ont qu'un seul objectif : dénoncer « le vice et la débauche des femmes marocaines », peut-on lire dans un article du Site Info, spécialisé dans l'information générale marocaine.
"Non au vice dans un pays islamiste marocain"
Ils seraient 120 individus dont 40 personnes de différents partis marocains et 79 jeunes en poste sur plusieurs plages marocaines, détaille le site. Ils justifient la publication de leurs photos volées, réalisées grâce à des smartphones, par leur slogan : « Non au vice dans un pays islamiste marocain », traduit le site d’information. Rappelons que le Royaume du Maroc est un état gouverné par un roi et dont le régime politique est une monarchie constitutionnelle.
L'indignation des internautes
Sur son compte Facebook, Aicha Amal remercie également « tous les frères et sœurs qui [les] ont rejoints afin de distribuer des smartphones et de prendre en photo les Marocaines en bikini sur toutes les plages marocaines ». Selon le quotidien Akhbar Al Yaoum, les individus derrière le compte ont aussi affirmé « être en possession de dix millions d'autres photos qu'il n'hésitera pas à mettre en ligne, sur un site créé à cet effet ».
Mais du côté des internautes, on s'indigne de ces pratiques qui vont à l'encontre du respect de la vie privée. Messages de prévention, soutien aux femmes marocaines... Les utilisateurs du réseau social se sont également mobilisés pour signaler le compte et le faire fermer.
Une initiative collective qui a fonctionné puisque, aujourd'hui, le compte a bel et bien été suspendu. Une mesure suffisante en attendant les résultats de l'enquête des autorités, actuellement en cours ?
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