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Kim Kardashian est muette... mais procédurière

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Kim Kardashian ne parle pas, mais agit.

Depuis son agression à Paris, la star américaine n'a pas écrit une ligne sur ses réseaux sociaux. Ni posté une seule photo. En revanche, elle porte plainte contre les médias alimentant la théorie du complot.

Douze jours que Kim Kardashian n'a pas posté une photo, ni écrit une ligne sur les réseaux sociaux. Du jamais vu. Pis, depuis son agression à Paris, lundi 3 octobre, elle a fait le ménage parmi ses followers sur Twitter. Les mauvaises langues disent qu'elle ne pourra pas garder le silence très longtemps compte tenu de ses engagements contractuels.

Mais il y a un domaine où la star américaine est très active depuis qu'elle a été ligotée et détroussée dans un hôtel de luxe parisien pendant la Fashion Week : les procédures judiciaires.

Partie civile

Alors que l'enquête de la Brigade de répression du banditisme sur le vol de 9 millions d'euros de bijoux suit son court, l'aînée des Kardashian s'est constituée partie civile. « Madame Kim Kardashian West, victime le 3 octobre 2016 à Paris d'une grave agression et d'un vol de bijoux, a mandaté ses avocats, Mes Jean Veil et Léonor Hennerick, afin de se joindre en qualité de partie civile à la procédure confiée à deux juges d'instruction chargés d'enquêter sur ces faits de vol avec usage d'une arme commis en bande organisée, séquestration et association de malfaiteurs », ont déclaré les avocats dans un communiqué à l'AFP.

Violation de la vie privée

La star de téléréalité entend également désamorcer la théorie du complot qui l'accuse d'avoir mis en scène son vol roccambolesque. En ce sens, Kim K va « déposer plainte pour violation de sa vie privée à l'encontre de l'auteur et des diffuseurs d'une vidéo réalisée à son insu et celle des policiers qui procédaient aux premières constatations dans l'hôtel, lieu de l'agression », ont fait savoir ses conseillers par voie du susdit communiqué.

Diffamation

Mediatakeout.com est également dans le viseur du clan Kardashian. Le site a pour sa part avancé que l'agression avait été mise en scène afin de toucher l'argent des assurances. En riposte à ces accusations, l'Américaine de 35 ans a déposé plainte pour diffamation à New York.

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#JeMeSensAdulteQuand : 22 raisons de se sentir adulte à n'importe quel âge

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Il n'y a pas d'âge pour être adulte.

Le hashtag #JeMeSensAdulteQuand caracole en tête des sujets les plus discutés sur Twitter. Comme les Internautes, nous avons complété la petite phrase. Pour le meilleur et souvent le pire.

Il n'y a pas d'âge pour se sentir adulte. Et nombreuses sont les situations où on a, en s'entendant parler, l'impression d'écouter ses parents... Sur Twitter, les Internautes s'amusent à compléter la petite phrase « Je me sens adulte quand...». Pour le meilleur et souvent le pire. À la rédaction, nous avons fait de même. (Toute ressemblance avec des faits et personnes réels est fortuite.)

#JeMeSensAdulteQuand...

J'explique le fonctionnement de la télécommande à la baby-sitter.

Je culpabilise de ne pas être allée voir « mémé » depuis plus de dix semaines.

Je constate que je connais mon numéro de sécurité sociale par cœur.

J'ouvre un PEL à la banque et met en place une épargne pour ma fille (qui n'a pas encore un an).


Je rentre mon tee-shirt dans mon pantalon pour ne pas avoir froid.

Je parle de la météo lorsqu'on me demande si j'ai passé un bon week-end.

Je bois mon huitième café (sans sucre) de la journée.

On me propose une assurance vie « au cas où ».


Je sors jusqu'au petit matin et qu'il me faut une journée - voire deux - pour m'en remettre.

J'apprécie un bon vin rouge plutôt qu'un mojito.

La dermatologue qui examine mes grains de beauté se ravise et me dit « ces deux-là, ce sont des taches de vieillesse » (car j'approche de la trentaine).

Je conduis MA voiture.

J'organise un dîner et cuisine sans passer par la case Picard.

Je retrouve mes chaussettes en paire dans mon dressing.

Je mange un Sveltesse.

Je comprends (à peu près) Mulholland Drive.

Je rapporte de moi-même (sans qu'elle ait besoin de me le rappeler) les tupperwares empruntés à ma mère.

Je dis (à voix haute) à mon conjoint que c'est quand même « tellement plus agréable quand le lit est fait ».


J'opte pour des chaussures « confortables » et « pratiques » plutôt que des talons de 12 .

Je suis ivre après trois verres de vin (ou deux pintes de bière).

J'organise une soirée des « anciens » du lycée.

Je prononce le mot « top » et ma petite sœur me regarde en pensant très fort « Je ne peux plus rien pour toi. Déso. ».

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Née sous X, elle retrouve sa mère en 7 jours grâce à Facebook

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Karine a accompagné son post d'une photo d'elle et d'un avis de recherche manuscrit.

Grâce aux internautes, Karine, étudiante bordelaise, a retrouvé sa mère biologique, qui lui avait donné naissance sous X, en une semaine.

7 jours. C'est le temps qu'il a fallu à Karine pour retrouver sa mère biologique grâce à un appel lancé sur Facebook, le 30 septembre dernier.

L'étudiante est née sous X (c'est-à-dire de père et mère anonymes) à Bordeaux, en 1995. Adoptée, elle a grandi entourée de ses parents adoptifs. À 21 ans, l'étudiante décide de lancer des recherches pour retrouver sa génitrice. L'objectif est de « mettre un nom, un visage sur la personne que tu es, avoir une explication à ces neuf mois où je me suis imprégnée de toi », explique-t-elle dans son post Facebook. « Tu es l'introduction de ma vie, sans toi je ne peux me construire entièrement », ajoute-t-elle.

Près de 6000 partages

Les internautes ont partagé en masse sa recherche sur Facebook, 5799 fois exactement, dans tous les départements français et même jusqu'en Polynésie. Et, à peine une semaine plus tard, sa génitrice la contactait via le même réseau social.

Comment s'est déroulée la rencontre ? Que se sont dit les deux femmes ? Karine n'en dira pas plus sur ces retrouvailles, préférant « garder sous silence cette nouvelle page retrouvée », confie-t-elle à Sud Ouest, afin de préserver sa vie privée et celle de sa famille. Dans un dernier post Facebook, la jeune étudiante a partagé sa joie et son soulagement. Elle remercie également chaleureusement toutes les personnes qui ont rendu possible cette belle fin et précise qu'elle répondra à tous les commentaires suscités par son post – près de 400 tout de même.

Forte de son expérience, la jeune femme souhaite désormais aider les personnes nées sous X à retrouver leurs parents biologiques. Elle assure qu'elle se rendra disponible et apportera son aide tant qu'elle le peut.

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#LesEnfantsCestMignonMais : les perles de la rédaction

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Le Village des damnés, film britannique de Wolf Rilla sorti en 1960.

Sur Twitter, le hashtag « Les enfants c'est mignon, mais... » caracole en tête des sujets les plus discutés. La rédaction s'est prêtée au jeu. Florilèges d'anecdotes.

#LesEnfantsCestMignonMais...

Surtout quand ils dorment.

Ils transpirent (autant que des adultes qui n'utilisent pas de déodorant).

Ils sont capables de crier, en public au restaurant, entre le plateau de fromage et le dessert : « J'ai envie de faire caca ! ».

Ils ne sont pas autonomes avant sept longues années.

Ils ont soudain très mal au ventre quand il s'agit de manger des épinards ; et sont guéris quand arrive le dessert.

Ils disent tout haut ce qu'on pense tout bas (« Maman, elle est moche la dame. »)

Ils répètent « pourquoi ? » et « encore » en boucle sans jamais arriver à saturation.

Ils pleurent sur commande, avec des vraies larmes de crocodile, sans raison valable.

Ils disent la vérité, sans filtre, et parfois ça fait mal.

Ils font un cirque parce qu'ils ne veulent pas prendre leur bain ; puis « crisent » parce qu'ils ne veulent plus en sortir.

Ils ont une âme d'artiste qui s'exprime quelques fois un peu trop :

Ils bavent toujours dessus quand tu viens de mettre ta plus belle veste.

Ils ne comprennent pas que l'on puisse avoir une vie en dehors de jouer avec eux.

Ils demandent toujours à regarder Tchoupi sur la tablette pendant qu'on stalke tranquillement notre ex sur Facebook.

Quand ce n'est pas les tiens, mais ceux du voisin, et qu'ils pleurent à trois heures du matin, ils le sont beaucoup moins.

Ils ont la capacité de monter dans les décibels jusqu'à déclencher, chez leurs homologues adultes, une sensation douloureuse :

Ils ont trop souvent la gastro.

Quand on peut passer une journée sans eux, c'est quand même mieux.

Ce sont des perroquets (du geste et de la parole).

Ils sont ingérables dans les transports (avion, train, bus confondus) :

Ils font des concours de cris dans le wagon-bar qui ne font rire qu'eux.

Ils pensent que les pommes de terre sont des jouets à installer dans leur chambre.

Ils se lavent les dents n'importe comment.

Ils refusent de serrer la main de Justin Trudeau.

Ils nous font douter, souvent : « Maman, c'est dur d'être parents ? » (après une intense phase d'observation).

Ils sont ingrats et ne pensent qu'à eux.

Attendez un peu avant d'en faire !

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Microsoft teste une appli pour rendre les Japonaises plus belles sur Skype

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En partenariat avec Shiseido, Microsoft Japon développe une application sur Skype Entreprise pour « maquiller » les femmes en télétravail en cas de conf call vidéo inopinée.

Vous pensiez pouvoir rester en jogging au fond de votre couette pendant votre journée de télétravail et mettre votre peau en repos avec un no make-up day ? C'était sans compter sur TeleBeauty, une application qui utilise la réalité augmentée pour rajouter du maquillage aux visages des femmes lors de vidéoconférences via Skype.

Quatre filtres différents

La fonctionnalité, développée par Microsoft Japon en partenariat avec les cosmétiques Shiseido et Skype Entreprise, sera disponible uniquement sur le marché japonais. Selon le site high-tech Cnet, la technologie est capable de suivre le visage de la personne concernée et d'y appliquer quatre styles de maquillage différents : naturel, trendy, cool ou féminin. Sans doute pour éviter les foudres des féministes, TeleBeauty pense aussi aux hommes avec des fonctions pour éliminer les cernes ou éclairer les utilisateurs dans les pièces sombres, fonctions assez universelles somme toute. Une centaine de salariés de Microsoft testent, en ce moment, la magie du e-maquillage. Mais nous ne savons pas si ce sont des femmes ou des hommes...

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Répudiée pour avoir posté des photos de son mariage sur Snapchat

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Elle voulait partager sa joie, il l'a répudié.

Un Saoudien demande le divorce après deux heures de mariage. La cause ? Sa jeune épouse a publié des photos de leur cérémonie sur le réseau social. Incroyable mais légal.

En Arabie saoudite, une jeune mariée voulait partager sa joie avec une amie. Portable en main, elle poste alors des photos de sa cérémonie sur Snapchat. Ce qui pourrait paraître banal et inoffensif lui a pourtant coûté son mariage. L'époux, furieux, l'a répudiée derechef. En cause ? L'heureuse élue a enfreint le contrat prénuptial qui stipulait qu'elle ne devait pas utiliser les réseaux comme Instagram, Snapchat ou Twitter.

Aussi soudaine et radicale que la décision puisse paraître, l'époux était pourtant dans son bon droit. En Arabie saoudite, un homme a le droit de répudier sa femme sans raison apparente. « Il y avait un contrat de mariage selon lequel elle n'était pas censée utiliser des applications mobiles des réseaux sociaux permettant de publier des photos. Malheureusement, ma sœur n'a pas tenu sa promesse et s'est plongée dans Snapchat pour correspondre avec une amie », a confié le frère de l'ex-épouse aux médias locaux.

Ce n'est pas la première fois dans le pays qu'un mariage mène à un divorce expresse. Le Huffington Post rapporte que lors d'une autre union, le marié aurait demandé le divorce immédiatement après avoir découvert le visage de son épouse. L'homme aurait pris peur... à cause la laideur de la femme.

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Facebook : "J'ai quitté le réseau social, car..."

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Ils ont décidé de franchir le cap et de larguer le réseau social... sans remords.

Julie, Jean-Lucien et Marie ont fini par plaquer le réseau social. Sans remords, ou presque, ils témoignent.

« Ça va. Je me sens très bien. » Non, Julie, ne se remet pas d'une rupture amoureuse. Alors que 23 millions d'utilisateurs s'y connectent au moins une fois par jour, la journaliste de 41 ans, a décidé, elle, de quitter Facebook. Et la « rupture » ne s'est pas faite du jour au lendemain. D'abord indécise, Julie « quitte le réseau » plusieurs fois et met son compte « en somnolence ». Puis revient, à chaque fois. Mais en avril 2013, à la suite d'une mauvaise manipulation, c'est la rupture. « En arrivant sur mon profil, une boîte de dialogue s'est ouverte. J'ai tapé "ok" trop vite, sans regarder. Je venais de donner la permission à Facebook de prendre la totalité de mes contacts. J'étais dans une colère noire. J'ai dit "non, ce n'est pas possible, je pars". »

"Luxe de Narcisse"

Julie n'est pas la seule à avoir été agacée par cette politique de non-confidentialité. Vendredi 7 octobre 2016 à 10h04, Jean-Lucien, pas encore trentenaire, envoie un sobre mail à ses amis : « Hello, juste pour t'informer que je quitte Facebook. Toujours disponible à cet email ou à mon numéro habituel, et d'aventure je suis à Paris jusqu'à nouvel ordre. Prends soin de toi ;) ». Fatigué d'exposer sa vie ou de commenter celle des autres, il veut récupérer le « temps psychologique » qu'il estime perdre. « J'avais beau être entouré d'amis virtuels, au fond cela ne m'a pas plus encouragé à les voir ou à me rapprocher d'eux. Je n'aimais pas trop ce côté contemplatif illusoire. Vraiment, notre temps sur Terre est trop court pour que je me permette ce luxe de Narcisse. »

Problème de confidentialité

Ce fameux « luxe », Marie (1) s'en serait bien passé, elle qui s'est retrouvée confrontée à un problème de confidentialité... au sein de son couple. « J’ai quitté Facebook quelques semaines en 2008 parce que mon amoureux de l’époque était bien trop jaloux, explique la trentenaire. Chaque personne qui likait une photo – au début du réseau social, j’en postais énormément – ou commentait un statut était passée au scanner. » Au début, Marie se montre patiente et rassure son compagnon. Mais elle ne peut s'empêcher de s'estimer épiée. « Je ne me sentais plus libre. Alors pour avoir la paix et lui prouver que ces "amis" ne comptaient pas, j’ai pris la décision de désactiver mon compte. »

"Comme un shoot après une longue abstinence"

Instantanément après avoir plaqué Facebook, Jean-Lucien se sent mieux. « J'ai comme l'impression d'avoir éteint un téléphone et je me sais et me sens plus libre. » Un avis que partage Julie. Après six ans de bons et loyaux services, elle est libérée d'un voyeurisme qui la mettait mal à l'aise : « Je fais partie de ces gens qui considèrent que pour vivre heureux, il faut vivre caché. Et quand on veut prendre des nouvelles des gens, on les demande vraiment. » Marie, elle, n’a pas résisté à l’appel du réseau social. À peine dix jours après avoir mis son compte en veille, elle s’est à nouveau connectée sur Facebook. « J'ai poussé un ouf de soulagement », comme un shoot après une longue abstinence. Et aujourd'hui ? « Pour gérer les crises de jalousie de mon ami, j’ai créé des groupes avec des fonctionnalités particulières pour empêcher les serial commentateurs... de commenter. »

(1) Le prénom a été changé.

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Gal Gadot, la nouvelle Wonder Woman, est enceinte

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L'actrice de 31 ans attend son deuxième enfant. (Beverlly Hills, le 13 octobre 2016.)

L'actrice israé­lienne Gal Gadot va incarner Wonder Woman sur grand écran et vient d'annoncer sa deuxième grossesse sur Instagram.

Instagram est définitivement le nouveau carnet rose des célébrités. Après les chanteusesGeri Halliwell et Ciara, pour les dernières en date, c’est au tour de Gal Gadot d’annoncer sa deuxième grossesse sur le réseau social. Sobre et touchant, son selfie en noir et blanc montre l’actrice de 31 ans et son mari, Yaron Varsano, posant face à un miroir.

2017, une année "wonderful" pour Gal Gadot

Simplement vêtue d’un short en jean et d’un débardeur, la jeune maman affiche un large sourire tandis que le papa a la main posée sur le ventre de sa femme. En moins de 24 heures, le post accompagné du message « Tellement heureuse de partager cette merveille avec vous #mamanpourlasecondefois » a généré plus de 7500 commentaires. Mariés depuis 2011, Gal Gadot et Yaron Varsano, magnat de l’immobilier, sont déjà parents d’Alma, fillette de 4 ans.

L’annonce de l’heureux événement arrive juste après la publication officielle de la bande-annonce de Wonder Woman, dont la sortie en France est prévue pour juin 2017. L’année prochaine s’annonce donc wonderful pour l’actrice, qui sera la première à incarner la super-héroïne de bande-dessinée sur grand écran.

Gal Gadot, de Miss Israël à Wonder Woman

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Le prince Harry officialise sa relation avec Meghan Markle

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Via un communiqué de presse officiel, le prince Harry officialise sa relation avec Meghan Markle.

Via un communiqué de presse, le prince Harry en profite pour appeler les médias et le grand public à cesser les attaques racistes et sexistes à l’encontre de sa petite amie.

Le prince Harry a fait d’une pierre deux coups. Il vient en effet d’officialiser sa relation avec Meghan Markle tout en appelant à cesser les attaques « racistes et sexistes » à l’égard de sa nouvelle compagne, via un communiqué de presse diffusé sur le compte twitter officiel du Kensington Palace.

L’actrice américaine métisse de 35 ans subit, en effet, en Une des tabloïds anglais et internationaux et sur Internet (réseaux sociaux et commentaires), des attaques racistes plus ou moins explicites à l’égard de ses origines. Un acharnement que ne supporte plus le prince Harry qui rappelle que cette relation naissante « n’est pas un jeu ». Pour appuyer ses propos, il invoque par ailleurs le destin tragique de sa mère, Lady Diana, intensément harcelée par la presse tout au long de sa vie.

Du côté de Meghan Markle, aucune déclaration officielle à ce stade, si ce n'est des « indices » distillés sur son compte Instagram, comme cette photo so british :

L'intégralité du communiqué du prince Harry

« Depuis son enfance, le Prince Harry a conscience de l’accueil chaleureux que lui réserve le grand public. Il s’estime chanceux et privilégié d’un tel soutien. Il est également conscient de la curiosité suscitée par sa vie privée. Cela ne l’a jamais mis à l’aise mais il essaye de s’endurcir à ce sujet.

Il n’a jamais pris de mesure vis-à-vis des régulières histoires fictionnelles rapportées par les médias et travaille justement à entretenir une relation professionnelle avec eux, pour attirer l’attention sur son travail et les problèmes qui lui tiennent à cœur.

Mais une ligne a été franchie la semaine dernière. Sa petite amie, Meghan Markle, a fait l’objet d’une vague d’abus et de harcèlement. Dont certains très médiatisés, en une d’un journal national, avec des relents de racisme. Des attaques sexistes et racistes trouvées également sur les réseaux sociaux et dans les commentaires d’articles en ligne.

Beaucoup de choses ont été cachées au grand public : les batailles juridiques nocturnes contre les histoires diffamatoires racontées dans les médias ; sa mère [la princesse Diana] qui doit jouer des épaules face aux photographes pour accéder à sa porte d’entrée ; les assauts de journalistes pour entrer par effraction dans sa propriété et les appels à la police qui ont suivi ; les pots-de-vins proposés à son ex-petit ami [en échange de ragots] ; le bombardement de presque tous ses amis, collègues, et ses êtres chers.

Le prince Harry se fait du souci pour la sécurité de Miss Markle et se sent profondément déçu de ne pas être en mesure de la protéger. Il est injuste qu’au bout de quelques mois de relation, Miss Markle subisse une telle tempête. Il sait que certains détracteurs diront que « c’est le prix à payer » et que « cela fait partie du jeu ». Mais il n’est pas du tout d’accord. Ce n’est pas un jeu, mais bien sa vie à elle et à lui.

Il a donc demandé à ce que ce communiqué soit divulgué dans l’espoir d’apaiser les tensions et d'inviter tout le monde à réfléchir afin de ne pas provoquer plus de dégâts. Il sait combien il est inhabituel de publier un tel communiqué mais espère justement que cela permettra aux gens de comprendre à quel point il était nécessaire de s’exprimer publiquement à ce sujet ».

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Manteau : à quoi ressemble le plus populaire de Pinterest ?

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Le manteau le plus populaire de Pinterest ressemble à ce pardessus gris aperçu pendant la Paris Fashion Week printemps-été 2017.

Une coupe masculine indémodable dans un gris qui va avec tout : ce caban a tout bon. Et pour longtemps.

Un col cranté tout en douceur, de grandes poches plaquées où réchauffer aisément ses mains, une longueur genou qui tient bien chaud, et une coupe masculine facile à vivre, le tout dans une laine grise passe partout. Voici le portrait-robot du manteau le plus populaire de Pinterest.

Véritable thermomètre des tendances, ce réseau social numérique dédié aux images permet aux utilisatrices de créer des sous-dossiers de clichés inspirants, en fonction de leurs envies repérées à droite et à gauche. Plus une image se voit « ré-épinglée » et « aimée », plus cela indique une tendance forte. En l’occurrence, cet ample caban gris s’est vu épinglé plus de 120.000 fois cette année. Rien que ça.

Un indicateur qui prouve que la tendance est bien aux coupes masculines. Une aubaine car ce genre de pardessus, à la coupe chic et intemporelle, ne risque pas de se démoder de sitôt. Classique, il sait se faire oublier pour mieux mettre en valeur les vêtements qui l'accompagne. La vague du parfait manteau indémodable n'est pas prête de s'essouffler.

Épinglé plus de 120.000 fois, ce manteau s'affirme comme le plus populaire de l'année 2016 sur Pinterest.

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Snapchat, nouveau terrain de jeu des marques de luxe

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Pour plaire aux "digital natives”, leurs clients de demain, les marques de luxe chahutent leurs codes et imaginent des campagnes toujours plus fun et conviviales.

L’impact du réseau social favori des 13-24 ans est tel que les marques iconiques du luxe sont obligées d’en être. Zoom sur leurs nouvelles stratégies de séduction.

Qui aurait pu le prévoir ? Qui pouvait annoncer que Snapchat, l’application préférée des adolescents, deviendrait l’un des terrains de jeu favoris des marques du luxe et de la mode ? Qui pouvait imaginer que ce réseau social de l’éphémère (la durée de vie d’une photo ou d’une vidéo postée n’excédant pas dix secondes, ou vingt-quatre heures si elle a été enregistrée dans sa « story ») trouverait sa place parmi des mastodontes du digital, comme Facebook ou Instagram ? Car c’est un fait, Snapchat figure aujourd’hui parmi les réseaux qui comptent. Chaque jour, il enregistre 150 millions d’utilisateurs actifs.

Les plus jeunes utilisateurs n’ont que 13 ans.

« C’est sans aucun doute le réseau social préféré des moins de 25 ans, explique Nardjisse Ben Mebarek-Launay, digital director au sein du bureau de style NellyRodi. Selon une récente étude, les plus jeunes utilisateurs de Snapchat n’ont que 13 ans. Rien d’étonnant à cela : enfin un réseau social où l’on peut s’envoyer des contenus sans risquer de se faire épingler par un parent, un prof ou même de devenir la risée sur Internet ! » C’est d’ailleurs un scandale qui a donné l’idée de cette appli à Evan Spiegel, le cocréateur de Snapchat.

En juin 2011, aux États-Unis, le représentant démocrate de New York au Congrès, Anthony Weiner, fait les gros titres de la presse américaine après avoir envoyé, via Twitter, des photos à caractère sexuel à plusieurs femmes. Le scandale est tel qu’il se voit dans l’obligation de démissionner. « Il doit y avoir une solution, on doit pouvoir poster des photos de façon plus confidentielle ! », se dit le jeune Evan Spiegel, alors étudiant à l’université Stanford. Il développe donc le concept de l’autodestruction du message : les photos et vidéos partent d’un expéditeur, arrivent à un destinataire puis disparaissent, s’évaporent aussitôt vues. Pas de trace !

Les consommateurs de demain

Imitation des nombreux filtres présents sur l'application Snapchat.

La révolution Snapchat est née en juillet 2011. Cette confidentialité maximale séduit immédiatement les plus jeunes : vive l’éphémère et la liberté d’expression qu’il permet ! Ces derniers délaissent rapidement Facebook (où trop de parents intrusifs les suivent) et s’inscrivent sur Snapchat. « Aux États-Unis, 60 % des 13-24 ans utilisent l’appli, reprend notre directrice digitale. C’est colossal. C’est une application faite pour la génération Z, cette fameuse génération qui est née avec Internet, qui snappe, instagramme et twitte de façon intuitive, naturelle, innée. »

Une question se pose alors : que viennent donc faire les marques de luxe sur une application largement fréquentée par des adolescents ? Leur production n’est-elle pas destinée à une cible plus mûre, plus avertie et dotée d’un pouvoir d’achat plus important ? « C’est certain, confirme Nardjisse Ben Mebarek-Launay. Mais cette génération est précieuse pour les maisons de luxe. Elle représente le consommateur de demain, celui qui pousse d’abord la porte virtuelle de la marque, avant de pouvoir, un jour, s’offrir en vrai des produits lorsqu’il en aura les moyens. Pas question donc de la délaisser. Et puis, soyons francs, la génération Z passe le plus clair de son temps sur le Web. Les réseaux sociaux représentent donc quasiment le seul moyen de s’adresser à elle. » Autrement dit, l’unique façon d’attirer son attention. De l’éveiller au luxe en général, aux codes d’une maison en particulier, de créer un lien, un désir.

Des codes très différents de ceux du luxe

Seulement, Snapchat a ses codes. Des codes qui vont à l’encontre de ceux utilisés jusque-là dans le monde du luxe. « C’est le réseau social du "brut", constate l’experte digitale. À l’inverse d’Instagram où les clichés sont léchés, travaillés, améliorés, sur Snapchat, on poste de l’instantané. Si la photo est floue, si la vidéo bouge, ce n’est pas grave. Ça fait partie du jeu. C’est finalement un réseau plus sincère. On ne peut pas tricher. C’est la réalité. » Pas évident, donc, pour les marques de luxe de communiquer sans fard, ces dernières ayant pour mission de vendre du rêve à travers des images et un univers ultra-soignés, à l’esthétisme sophistiqué, réfléchi et mûri. Utiliser Snapchat sans trahir cet esprit est une gageure.

Un saut dans l’inconnu qui peut donner le vertige… Mais les marques n’ont pas d’autre choix que d’investir ce réseau social qui pourrait prendre encore plus d’ampleur dans les années à venir. « D’une certaine façon, elles sont prises au piège, analyse Nardjisse Ben Mebarek-Launay. Si elles négligent les nouveautés comme Snapchat, elles pourraient souffrir d’une image ringarde, et si elles y vont, elles risquent de désacraliser l’image de la marque. Le juste équilibre et le juste ton ne sont pas évidents à trouver… mais c’est un passage obligé ! Le digital explose en France de manière puissante. »

Snapchat, YouTube ou Periscope... un réseau, une stratégie

« Aux États-Unis, 60 % des 13-24 ans utilisent l’appli », explique directrice digitale Nardjisse Ben Mebarek-Launay, digital director au sein du bureau de style NellyRodi.

Grégoire Hardy en sait quelque chose. Il officie en tant que responsable du pôle social media de l’agence de communication Mazarine. Son rôle est d’aider les marques de luxe à utiliser judicieusement les différents réseaux sociaux. « Depuis quelques mois, c’est le grand rush ! raconte-t-il. Tous nos clients veulent être présents sur l’ensemble des réseaux. C’est une totale remise en question pour eux mais aussi pour nous. Il y a dix ans, les marques communiquaient via une campagne de publicité et un spot télé.

Aujourd’hui, elles doivent être présentes partout et adapter leur discours aux différents réseaux sociaux. Pas question de poster le même contenu sur Instagram, Facebook, Snapchat, YouTube ou Periscope ! Chaque contenu doit être complémentaire, et c’est bien là toute la complexité. » L’ampleur de la tâche est telle que l’agence Mazarine s’est dotée d’une cellule consacrée uniquement aux réseaux sociaux. « Notre métier a changé. Aujourd’hui, lorsque l’on travaille une campagne, on pense global, c’est-à-dire que l’on pense aux médias classiques - journaux, télé, radio - mais aussi à l’ensemble du digital, Web et réseaux sociaux. Il faut que la campagne soit "tentaculaire", qu’elle puisse rayonner sur tous les réseaux, et que les événements soient instagrammables via la mise en place de décors ou d’activités fun. Pour Snapchat, il faut penser "behind the scene" ("dévoiler les coulisses", NDLR). En quatre ans à peine, notre métier a sérieusement évolué. C’est excitant ! » Et c’est surtout sans fin.

Les grandes maisons entrent dans la danse

Concurrents, les réseaux sociaux se renouvellent en permanence et proposent régulièrement de nouvelles fonctionnalités auxquelles les utilisateurs doivent rapidement s’adapter. Leur but ? Devenir leader d’un marché de plus en plus fructueux. Début septembre, Instagram lançait, par exemple, ses Stories, c’est-à-dire la possibilité de filmer des séquences de sa vie, de les mettre bout à bout et de poster le tout. Une façon de contrer les Stories de Snapchat. « En deux mois à peine, plus de 100 millions de personnes utilisent Instagram Stories au quotidien, assure un porte-parole d’Instagram, la réactivité de nos utilisateurs a été fulgurante. »

De son côté, Snapchat avait, dès janvier 2015, lancé Discover, une plateforme qui s’appuie sur un partenariat avec des médias ou des marques afin d’augmenter son chiffre d’affaires - en mai dernier, le cofondateur a d’ailleurs annoncé que l’entreprise allait entrer en Bourse, comme Facebook et Twitter l’ont déjà fait. La marque britannique Burberry a été la première griffe mode à se lancer dans cette nouvelle aventure. En avril 2016, elle annonçait son partenariat avec Discover et diffusait vingt-quatre heures durant un contenu éphémère autour de Mr. Burberry. Des maisons comme Dior, Chanel, Louis Vuitton ou encore Valentino font de même et utilisent désormais de façon accrue Snapchat. Pour le lancement de son parfum N°5 incarné par Lily-Rose Depp, la maison de la rue Cambon avait d’ailleurs créé un « lense » - comprendre un filtre à effets spéciaux comme un casque ou des moustaches - sur Snapchat. Les utilisateurs pouvaient alors faire un selfie façon flacon N°5. L’engouement a été total. Même succès pour Dior, qui a confié les commandes de son compte Snapchat aux jeunes mannequins jumelles May et Ruth Bell, le jour du défilé en octobre dernier à Paris.

« Les possibilités sont infinies, reprend Grégoire Hardy. Certaines marques proposent même des Snapcodes, qui sont des codes-barres que l’on scanne sur un produit et qui renvoient au compte Snapchat de la marque où l’on peut trouver l’annonce de Snapsales, c’est-à-dire de soldes éphémères. Lacoste, en 2014, avait fait une opération intéressante baptisée #spotthecroc. Les utilisateurs devaient trouver des crocodiles cachés dans des vidéos éphémères. Les gagnants bénéficiaient d’un bon de réduction de 20 % sur leur prochain achat. La dimension commerciale et ludique était pertinente car elle parlait à cette cible jeune. »

La question du retour sur investissement

Nardjisse Ben Mebarek-Launay : « Le digital explose en France de manière puissante. »

Si beaucoup de maisons de luxe entrent dans la danse Snapchat, peu d’entre elles - voire aucune - acceptent de se prononcer officiellement sur le sujet. Les raisons de ce silence ? Elles sont multiples. « Beaucoup d’entre elles se cherchent encore et tâtonnent, reprend Grégoire Hardy. Il est donc prématuré pour la plupart des marques de prendre la parole officiellement. » Mis à part le nombre de vues, impossible de connaître l’impact commercial de Snapchat. Difficile, donc, d’aborder la question du retour sur investissement. Et puis, dans ce secteur concurrentiel, pas question de dévoiler ses stratégies !

YouTube, Instagram, Facebook, Twitter… Les marques ne risquent-elles pas, finalement, de se disperser et d’y perdre leur latin ? Quant aux cibles, ne frôlent-elles pas l’overdose ? « C’est le danger, conclut Nardjisse Ben Mebarek-Launay. De toute façon, tout va tellement vite que la donne aura encore changé dans quelques mois. Snapchat risque de devenir un réseau mainstream, à l’image d’Instagram, et les ados vont alors le délaisser pour un autre réseau social… C’est écrit. Sans parler des données d’une récente étude que l’agence NellyRodi a menée avec Google sur la génération Z. Selon elle, aujourd’hui, le temps de concentration d’un adolescent entre 13 et 18 ans n’excède pas huit secondes… Ça donne à réfléchir sur toute cette surenchère visuelle ! »

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Travail : le style compte-t-il autant qu'un bon CV ?

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Le style vestimentaire compt-t-il autant qu'un bon C.V. ?

Avec l’explosion des réseaux sociaux, l’apparence règne désormais en maître. Au point de compter plus que nos compétences professionnelles ? Arrêt sur image.

L’anecdote est authentique. Bettina, la quarantaine, dirige la branche digitale d’une grande agence de communication. « Un jour, raconte-t-elle, j’ai voulu demander une augmentation à mon patron. Ce dernier était très satisfait de mon travail, mais, dès que l’on abordait la question financière, il changeait de sujet comme s’il ne me prenait pas au sérieux. Alors, au cinquième entretien, j’ai décidé de me mettre dans la peau d’un homme. J’ai enfilé un costume, une chemise blanche, une cravate et gardé mes talons pour être juste à sa hauteur. Ça a marché. J’ai été augmentée ! »

Le vêtement, mode d’expression ? de persuasion ? Avoir le bon look au bon moment, le physique adéquat au bon endroit, peut-il ouvrir plus de possibilités dans une vie professionnelle ? Pour la psychanalyste Sophie Cadalen, la scène racontée est d’abord révélatrice d’un sentiment universel. « On est toujours plus rassuré avec ce que l’on connaît et avec ce qui nous ressemble, avance-t-elle. Bettina a aussi renvoyé une image d’elle audacieuse et pertinente. En atténuant sa dimension féminine, elle ne se pose plus en sujet désirant, mais en femme qui sait ce qu’elle vaut, qui connaît le mode d’emploi des hommes et qui montre qu’elle peut fonctionner avec. »

L’importance du réseau

La première impression est-elle déterminante ? L’image que nous renvoyons peut-elle peser sur nos rapports professionnels ? Ces questions, Jean-François Amadieu les a souvent traitées dans ses ouvrages. En 2002, le sociologue publiait Le Poids des apparences, pour démontrer combien les caractères physiques et vestimentaires comptaient dans la vie de tous les jours. Et en septembre 2016, sortait son deuxième livre sur le sujet, La Société du paraître : les beaux, les jeunes… et les autres. Entre les deux publications, le poids des apparences s’est-il allégé ? « Malheureusement, non, explique-t-il. Car l’explosion des réseaux sociaux - ce que personne ne pouvait anticiper - s’est accompagnée d’une quasi-sacralisation de l’image et du physique. Ce qui s’est produit avec la révolution du numérique n’est pas une simple perpétuation d’un jeu des apparences qui finalement a toujours existé, mais un changement d’échelle dans le règne du paraître. Il suffit aujourd’hui de taper sur un moteur de recherche le nom de quelqu’un pour qu’apparaisse instantanément son visage. Nous sommes envahis par les images et le temps d’exposition au jugement des autres a forcément un impact. D’ailleurs, la plupart des chasseurs de têtes utilisent désormais ces réseaux sociaux pour recruter, même si, au bout du compte, ce sont quand même les entretiens qui seront déterminants. » L’apparence plus forte que les compétences ?

Nathalie Oliver, styliste sur rendez-vous du Bon Marché, l’affirme : « J’ai beaucoup de clientes cadres qui viennent avant un entretien d’embauche. Quand il s’agit de renouveler leur garde-robe, il est amusant de constater que ces femmes, dirigeantes pour la plupart, perdent leurs moyens. Mais toutes ont compris que maîtriser son image est aussi important qu’un bon CV. » Ce qu’elle leur conseille ? Privilégier des vêtements bien coupés, investir dans de belles matières et apporter un soin tout particulier aux chaussures et aux mains. En résumé : une tenue sobre avec un petit twist sophistiqué.

La dictature de la jolie fille

En 2016, le Défenseur des droits a fait un sondage d’où il ressort que 83 % des femmes qui recherchent un emploi pensent que leur apparence physique a une influence sur le recruteur. « J’admets que, à compétences égales, c’est la jolie fille qui l’emporte », confesse Vincent, rédacteur en chef d’un magazine féminin. Regarde-t-il aussi l’image de la future candidate sur les réseaux sociaux ? « Oui, bien sûr, si le poste est important. Donc, forcément, cela induit quelques préjugés. D’ailleurs, l’allure, le maintien, la tenue soignée sont des indices qui complètent un CV. Un look ringard peut être rédhibitoire ; normal quand il s’agit d’un secteur où la représentation a de l’importance. Cependant, bien évidemment, la fille passe-partout mais brillante a toutes ses chances. » Ouf !

Pour Bettina, citée plus haut, l’apparence est importante, mais pas déterminante. Selon elle, ce qui prime lors d’un premier entretien, c’est d’abord l’énergie que la personne dégage, la poignée de main, le regard, l’intelligence, l’attitude en somme. Et même s’il lui arrive de recruter pour des postes liés à l’univers de la mode, elle avoue ne pas raffoler des filles trop lookées, préférant une singularité ou une sincérité au dernier sac griffé. Même son de cloche chez Floriane de Saint-Pierre, fondatrice du cabinet du même nom, qui chasse managers, pdg ou directeurs artistiques pour le milieu du luxe. « Certes, nous regardons l’image de la personne sur les réseaux sociaux, car les marques pour qui nous travaillons le font. Mais nous respectons les candidats tels qu’ils sont, qu’ils envoient ou non des signaux sur le Web. Ce qui est important pour nous, c’est d’aligner les profils en adéquation avec la communauté qui va les recruter. Les femmes l’ont bien compris : elles s’habillent aujourd’hui en fonction du secteur auquel elles appartiennent, par empathie avec celui-ci et non pour se couler dans un uniforme. Je suis d’ailleurs contre le conformisme. L’apparence ne remplacera jamais l’être ; il faut, au contraire, être le plus authentique. » Son conseil : se projeter uniquement dans des univers où l’on sent que l’on pourra être soi-même.

Rester fidèle à soi-même

On l’aura compris, c’est plutôt dans la tête des femmes que se joue la tyrannie des apparences. Virginie Chanson, coach en développement personnel par l’image, s’est d’ailleurs spécialisée dans un nouveau créneau : soigner les gens à partir du vêtement. Leur redonner confiance, rendre visible l’invisible, être soi-même. « Finalement, ce que les gens cherchent dans leur apparence, c’est d’abord répondre aux demandes des autres. Et quand on veut toujours plaire à tout le monde, on entre dans une spirale infernale. » Virginie est aussi « penderiologue ». Comprendre par là qu’elle se rend à domicile pour inspecter le dressing de ses clientes et constituer des analogies entre leur penderie et leur vie. « Quand je découvre le placard d’une femme, je vois à qui j’ai affaire en quelques secondes. Celle qui a dix vêtements sur le même cintre a sûrement un poids dans sa vie. Une autre qui a le même tee-shirt en dix exemplaires est, selon moi, dans l’insécurité. Celle qui range n’importe comment n’aime pas prendre de décisions et, à l’inverse, la maniaque est trop dans le contrôle. Mon but : remettre du sens dans leur garde-robe pour les aider à avancer. »

Ainsi, Fatima, cadre dans l’audiovisuel et demandeuse d’emploi, qui se sentait obligée de porter uniquement du noir et du blanc quand elle partait en entretien d’embauche. « Elle pensait correspondre à l’image de la dirigeante, mais c’était une souffrance pour elle, car elle avait l’impression de se déguiser, poursuit Virginie Chanson. Un jour, je lui ai demandé d’arborer à chacun de ses futurs entretiens un petit quelque chose qui lui correspond vraiment : une couleur, un détail. Cela a tout changé dans sa manière de se comporter. Et deux mois plus tard, elle était embauchée par une grande chaîne de télé. » Alix Morabito, fashion editor aux Galeries Lafayette, raconte, pour sa part, avoir longtemps surjoué le style pour ses rendez-vous importants, passant ses journées à courir sur des talons de 10 centimètres pour affirmer sa position. « Un jour, explique-t-elle, j’ai dû, après un accident, passer au plat. J’ai alors appris à exprimer mes envies vestimentaires. Finalement, dans la mode, le plus essentiel est de se sentir confortable, d’être en accord avec soi-même. Cela permet d’avoir l’esprit libre, de dégager de l’énergie et de profiter pleinement des moments et des gens. Surtout, j’ai compris une évidence : rien n’est plus important que de rester fidèle à ce que l’on est. »

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Marc Jacobs recherche sa future égérie beauté sur Instagram

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Le créateur américain, grand adepte des réseaux sociaux, part à la recherche de sa future égérie beauté via Instagram. (New York, le 15 novembre 2016).

Le créateur américain part en quête de la perle rare : il recherche via Instagram une influenceuse, afin de lui proposer d’être la nouvelle recrue des tutos beauté de sa marque.

Lorsque Marc Jacobs ne s’amuse pas à partager des vidéos de Neuville, son chien, sur Instagram, il utilise le réseau social pour dénicher de nouveaux talents. Comme c’est le cas depuis maintenant deux ans, le créateur se sert de la plateforme comme espace de casting, et y trouve ses futures égéries. Un moyen d’une efficacité redoutable pour toucher un public plus jeune, avide d’interactions et de social media. Cette fois-çi, Marc Jacobs part à la recherche d’un ou d’une influenceuse beauté, susceptible de coller à son univers. Pour participer, Il suffit de poster une vidéo de soi sur Instagram en dévoilant au créateur quelles sont ses sources d’inspiration mode et beauté, en tagguant @marcbeauty et #CastMeMarc.

Les dix finalistes sélectionnés partiront en janvier 2017 direction New York. Là-bas, ils tourneront une vidéo de tuto qui sera évaluée par un jury, dont Marc Jacobs fera partie. Et les trois gagnants qui participeront ensuite aux vidéos tutoriels de la marque Marc Jacobs beauty, recevront un an de produits et des invitations aux événements Marc Jacobs Beauty Influencers. Le top départ sera donné le 8 décembre sur Instagram. Il ne reste donc plus qu’à bosser son speech.

En backstage du défilé Marc Jacobs printemps-été 2017 :

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Carrière : les trois conseils d'une top manager de Facebook pour réussir

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Maxine Williams est la directrice diversité chez Facebook.

Maxine Williams est directrice diversité chez Facebook. Elle a répondu à nos questions sur la place des femmes dans cette multinationale.

Facebook, le réseau social qui a bouleversé nos vies sociales emploie 14.495 salariés (en juin 2016) répartis dans le monde entier, dont 70 à Paris. C'est dans les locaux, sublimes (particulièrement la terrasse), que nous avons rencontré Maxine Williams, directrice diversité de la marque, pour lui poser des questions sur les femmes au sein de la multinationale.

Lefigaro.fr/madame - Quel est le portrait robot de l’employé chez Facebook ?
Maxine Williams. -
Il n’y a pas de profile type. Nous voulons recevoir et exploiter toutes les potentialités du monde. Nous développons une « diversité cognitive », c'est-à-dire avoir des gens d’origines, de sexes, de cultures et d'identités différents, pour penser différemment.

Et les femmes ?
Chez Facebook, il y a des femmes dans toutes les fonctions. Dans certains domaines, elles sont surreprésentées, dans d’autres elle le sont moins. C'est le cas des secteurs technologiques où elles ne sont que 17 %. Alors que dans les fonctions comme le marketing, la communication ou la vente, elles représentent 53 % du personnel (dans le monde entier). Dans les bureaux de Paris, les chiffres suivent la même tendance car il y a seulement une équipe d’intelligence artificielle dans les domaines technologiques. Au global, 27 % de nos managers sont des femmes. Notre objectif est d’augmenter ce chiffre.

Comment embaucher plus de femmes dans les domaines technologiques ?
C’est notre priorité et c’est la responsabilité de tous dans l'entreprise. À long terme, nous travaillons avec des organismes qui sensibilisent au langage du code comme Girls who code, Girls Inc... En France, l'association Starther remplit cette mission. Nous les soutenons pleinement. À moyen terme, nous nous concentrons sur les étudiantes à l’université. Par exemple, le programme Computer Science & Engineering Lean in Circles, en partenariat avec Lean In, la fondation de Sheryl Sandberg, LinkedIn et Anita Borg Institute, encourage les filles à poursuivre leur carrière dans les sciences, technologies, l'ingénierie et les mathématiques (STEM). On sait qu’il y a peu d’étudiantes dans ces domaines, mais il y en a encore moins qui sortent diplômées. Le but est de les convaincre de poursuivre leurs études jusqu’au bout. À court terme, nous travaillons avec des organisations qui ont des viviers de talents qui peuvent nous intéresser.

Le hall d'entrée des bureaux parisiens de Facebook.

Il y a du travail en interne également, nous nous efforçons d'écarter les préjugés des procédures de recrutement. En fait, nous essayons de prendre conscience des préjugés inconscients. Pour mieux les contrecarrer. Cela passe par beaucoup de formations. Attention, cela ne veut pas dire que les managers sont obligés de recruter des femmes ou des gens issus des minorités, mais qu'ils doivent en rencontrer en entretien, pour leur donner une chance de rentrer dans la compétition.

Comment facilitez-vous la vie des femmes au quotidien ?
Nous nous assurons que la vie, privée et professionnelle, de nos salariés constitue un tout homogène. Aux États-Unis, nous donnons quatre mois de congé maternité, pour les mères et les pères, qu’ils peuvent prendre quand ils veulent. En France également, particulièrement pour que les hommes puissent aider les mères, ou prendre le relais une fois qu’elles reprennent le travail. Nous sommes très flexibles et bannissons le présentéisme. Chez nous, c’est normal d’entendre que telle personne ne peut pas assister à une réunion à cause de l’école ou d'un enfant malade. Avoir une COO comme Sheryl Sandberg aide beaucoup aussi, elle donne l’exemple.

Quels sont vos trois meilleurs conseils pour réussir sa carrière ?
Les femmes sont tellement différentes, il faudrait des conseils différents pour chacune ! Plus sérieusement, je dirais : connaître sa valeur, être soi-même et être excellente. Connaître sa valeur ajoutée et savoir qu'on est la seule personne à l'avoir est important. C’est d’autant plus vrai dans le monde du travail, où il y a moins de femmes. La plupart du temps, elles ont tendance à se comporter comme des hommes pour réduire leurs différences. Alors qu'il faudrait faire le contraire ! Enfin, la perfection amène le pouvoir et la liberté. Si vous êtes excellente dans ce que vous faîtes, c’est difficile pour les gens de vous marginaliser. Cela ne veut pas dire être bonne partout mais savoir dans quels domaines et l’être à 100 %.

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Instagram : comment les réseaux sociaux uniformisent l'art du maquillage

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Instagram fait-il de nous des clones beauté ?

Les selfies s’enchaînent et finissent par tous se ressembler : même teint contouré, sourcils carrés, pommettes «hilightées». Est-ce la fin de la créativité ?

Sur le compte Instagram des femmes les plus accros aux photos de Kim Kardashian et consorts, les autoportraits s’enchaînent avec le même teint contouré, le sourcil presque carré et l’enlumineur haut sur la pommette. Une armada de sosies aux quatre coins du monde qui a de quoi inquiéter sur l’avenir de la beauté.

L'ère de la standardisation de la beauté

« Les réseaux sociaux ont fortement influencé la façon de se maquiller car ils mettent aussi en lumière des femmes plus lambda. Ces dernières offrent une caution d’accessibilité à des techniques autrefois réservées aux experts », remarque Nelly Chatagnon, cofondatrice avec Alexandra Bonelli des ateliers de maquillage Make My Beauty à Paris et du blog beauté du même nom. « Il y a quelques années, Cara Delevingne a incarné la tendance du sourcil très épais et foncé que beaucoup continuent de copier aujourd’hui. Même phénomène avec Kim Kardashian et le contouring. Mais cela ne va pas à tous les visages. Pourtant, on semble malgré tout entrer dans une ère de standardisation du maquillage », déplore la maquilleuse professionnelle.

Si les techniques professionnelles de contouring, strobing et autre color correcting s’utilisent depuis longtemps dans les coulisses des défilés et des shootings photographiques, elles se voient désormais plébiscitées grâce aux réseaux par des femmes qui vivent pourtant bien loin de la lumière des projecteurs. « Ces techniques ne sont pas faites pour être utilisées telles quelles au quotidien. Ce qui rend bien sur Instagram ne l'est pas forcément dans la vraie vie », rappelle la make up artist qui défend une vision plus naturelle du maquillage.

La France, encore épargnée ?

Mais les marques accompagnent le mouvement en surfant sur le moindre phénomène de mode pour sortir de nouveaux produits. Après les BB, CC et DD crèmes, la mode est au multimasking. Et les influenceuses sont les premières à en vanter les mérites à l’unisson. Dans leurs posts sur les réseaux, elles brandissent toutes à la même période un même produit et incitent à l’achat, ce qui renforce encore plus la tendance à l'uniformisation. « Mais il ne faut pas oublier que cette standardisation concerne surtout les jeunes, qui sont les plus influençables et les plus connectées », tempère la maquilleuse. « La France reste relativement épargnée avec sa culture du less is more. Contrairement aux États-Unis, par exemple, où le maquillage tient presque lieu de transformation complète du visage. »

À la dernière New York Fashion Week, en plus d’occuper les premiers rangs des défilés, blogueurs, youtubeurs et autres influenceurs s’incrustent également dans les coulisses beauté des shows. Les plus célèbres y conseillant même les make-up artists sur le maquillage capable de s’attirer les faveurs des réseaux, relève le New York Times qui se demande si Instagram ne signerait pas la fin du «bon maquillage». Plus besoin de sortir d’une école et de construire un portfolio pendant des années pour se faire une place dans le milieu des fards et des crayons. Les pros des réseaux sociaux court-circuitent désormais le système à coups de beauty looks taillés pour le like tant recherché par les marques.

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Voici le GIF le plus retweeté de l'histoire, signé Ryan Reynolds

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L'acteur, pendant l'élection des hommes de l'année par le magazine GQ. (Los Angeles, 8 décembre 2016.)

En juin 2016, l'époux de Blake Lively a fait beaucoup rire la Toile, en postant un tweet décrivant leur premier rendez-vous amoureux.

Outre son statut d'acteur, de producteur, d'ancien mannequin et de papa poule, Ryan Reynolds, 40 ans, serait aussi un fin farceur. Blake Lively, sa femme, est la première à en payer les frais.

En juin dernier, celui qui brillait déjà dans Deadpool s'est octroyé un instant de gloire sur les réseaux sociaux, en publiant un GIF – plutôt réussi – censé décrire sa première date avec celle qui est aujourd’hui son épouse. La preuve que l’humour (noir) paye toujours.

Les dents de l'amour

Si certains s'attendaient à un dîner aux chandelles, une promenade à cheval ou un doux baiser au clair de lune, ils se rappelleront que Ryan Reynolds est un homme d'action et d'aventure.

Le GIF en question n'est autre qu'une brève séquence du film Instinct de survie (The Shallows, en VO), dans lequel Blake Lively est poursuivie par un requin aux dents de scie. Légendé par l'acteur de la façon suivante : « Les véritables séquences du premier rencard avec ma femme. J'ai essayé de la surprendre et j'ai totalement oublié que j'étais un foutu requin ». Un mini-clip qui aura fait mouche auprès des internautes, avec plus de 127.000 retweets et plus de 295.000 likes. Faisant de ce GIF le plus retweeté de l'année.

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Instagram : les 20 lieux les plus photographiés sur le réseau social

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Le Village Harry Potter au parc Universal Studios de Floride est dans le top 3.

Les parcs d'attraction, les villes de New York et Paris occupent à eux trois quasiment tout le classement des vingt endroits les plus photographiés sur Instagram.

Instagram est un lieu d'évasion, où tout un chacun peut voyager, même depuis le fond de son lit, grâce aux comptes des autres utilisateurs. Dans cette masse de cartes postales digitales, certains lieux reviennent plus que d'autres. En fonction de leur majesté, de leur réputation ou d'événements particuliers qui jouent sur leur ordre d'apparition dans le top des endroits les plus photographiés du réseau social.

À la vue ce classement, il semble que la féérie amène à vouloir immortaliser les moments. Les parcs à thème trustent en effet les premières places. Les parcs Disneyland se hissent à la première marche du podium. Châteaux de princesse et personnages de dessins animés envahissent les comptes Instagram de beaucoup d'utilisateurs. Le parc Universal Studios occupe la deuxième place grâce à l'ouverture en avril 2016 d'un espace dédié à l'univers de Harry Potter. À la troisième place, on retrouve un lieu mythique, Central Park. Avec ses couleurs changeantes au gré des saisons, il est toujours bon de prendre un cliché de ce qui ne sera déjà peut-être plus là demain.

New York et Paris ont la cote

1 - Parcs à thème Disney
2 - Parcs à thème Universal Studios
3 - Central Park (New York City)
4 - Times Square (New York City)
5 - Tour Eiffel (Paris)
6 - Musée du Louvre (Paris)
7 - Las Vegas
8 - La baie de Santa Monica (Los Angeles)
9 - Pont de Brooklyn (New York City)
10 - La place VDNKh (Vystavka Dostizheniy Narodnogo Khozyaystva) à Moscou
11 - Le centre commercial Siam Paragon (Bangkok)
12 - Le Colisée (Rome)
13 - Madison Square Garden (New York City)
14 - L'aéroport de Los Angeles
15 - Tower Bridge (Londres)
16 - Le centre de Barcelone (Espagne)
17 - La cathédrale Notre-Dame de Paris
18 - Le Met de New York
19 - L'Empire State Building (New York City)
20 - Les chutes du Niagara

Ce classement utilise la technologie de géolocalisation et d'identification des lieux. Alors, combien en avez-vous visité ?

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Facebook : que vaut son portail pour parents ?

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Facebook lance son portail pour les parents

Facebook lance une plateforme d'aide à destination des parents. Tentative de rachat d'une conduite ou de reconquête de la jeunesse ?

Depuis mardi, Facebook prend les parents par la souris. Le réseau social a mis en place un portail à destination des pères et mères qui s'interrogent sur la manière de partager des photos de leurs enfants, et surtout sur le fonctionnement de Facebook une fois leurs progénitures inscrites.

«Être parent peut être un travail difficile.» Sur un mode déculpabilisant, le portail parental propose un accompagnement en trois étapes : découvrir Facebook, piocher parmi des conseils d'éducation en ligne et s'inspirer d'avis d'experts.

Les conseils d'éducation en ligne

Selon le réseau social créé par Mark Zuckerberg, la parentalité en ligne consiste à faire savoir à ses enfants «que les règles de la vie quotidiennes sont les mêmes que celles appliquées online». Autrement dit, «ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas que l'on te fasse», comme par exemple poster des photographies compromettantes d'un camarade en le taguant.

Facebook conseille aussi aux parents désœuvrés d'«essayer d'être un bon modèle». Et d'éviter à tout prix le «fais ce que je dis, mais pas ce que je fais», détaille un communiqué. Comprendre : appliquer à soi-même ce que l'on impose à ses enfants.

Enfin, le réseau social recommande chaudement de s'investir très tôt dans l'éveil numérique des têtes blondes en posant des questions, devenant amis virtuels et échangeant sur les pratiques et expériences communes...

En parallèle de ce portail parental, Facebook met toujours à disposition deux centres spécialisés : un premier de sécurité (safety center) et un autre de prévention contre le harcèlement (bullying prevention hub).

Tentative déguisée

Facebook, régulièrement épinglé sur la gestion des données personnelles de ses utilisateurs, tenterait-il de se racheter une (bonne) conduite ? La naissance de ce portail parental ne doit rien au hasard. Elle intervient quelques semaines seulement après les mises en garde de la Commission européenne. Début décembre, Vera Jourova, commissaire européen à la Justice, dénonçait le manque d'implication des géants du web, dont Facebook, dans la lutte contre le harcèlement. «En pratique, les entreprises prennent plus de temps et n'y parviennent pas toujours. Elles ne s'occupent que de 40% des cas qui leur sont signalés en moins de vingt-quatre heures», estimait-elle.

Les mauvaises langues estiment que le portail parental cache péniblement une tentative déguisée de (re)conquête d'une jeunesse qui tend à déserter le dinosaure Facebook, abreuvé d'annonces publicitaires et institutionnelles, au profit du jeune et intrépide Snapchat. À quand un portail à destination des parents dont les enfants sont sur Snapchat ?

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Au Mexique, 1,3 million de personnes s'invitent à l'anniversaire d'une jeune fille

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Rubi Ibarra a vu 1,3 million de personnes s'inviter à son anniversaire.

Le père d'une adolescente a créé un événement sur Facebook pour annoncer la quinceañera (« la quinzième année ») de sa fille. Malheureusement pour lui, l'invitation a été rendue publique.

Passée du rite traditionnel à une véritable industrie, la quinceañera (« la quinzième année ») est célébrée en grandes pompes dans les pays d’Amérique latine. C'est ainsi qu'un mexicain a malencontreusement rendu publique l'invitation à la fête d'anniversaire de sa fille sur Facebook le 8 décembre dernier. En quelques jours, Rubi Ibarra Garcia, 15 ans, s'est retrouvée avec 1,3 million de personnes intéressées par l'événement. Reprise sur Youtube, la vidéo (ci-dessous) a été visionnée plus de 4,5 millions de fois.

La fête, organisée à La Joya, un petit village de 200 habitants près de San Luis Potosi (nord du Mexique), a dû être déplacée de quelques kilomètres. Prévu pour une capacité d'accueil de 800 personnes, le terrain convenu ne suffisait pas à accueillir autant de monde. Les autorités locales ont donc décidé de le mettre en place dans quelques hectares supplémentaires. « C'est devenu incontrôlable... ce qui ne veut pas dire que nous ne voulons pas inviter tout le monde, bien sûr, mais ici les fêtes se font de manière plus locale, on ne s'attendait pas à ça », a confié dans une interview à un média mexicain Crescencio Ibarra, le père de Rubi.

10.000 personnes et un mort à l'arrivée

Pendant quinze jours, la jeune fille de 15 ans et son père ont fait la tournée des plateaux télé, devenant même la coqueluche de tout un pays. Une compagnie aérienne avait proposé une réduction à tous ceux qui souhaitaient se rendre à la fête et une marque alimentaire a sponsorisé le banquet. Un gouverneur et plusieurs artistes ont de leur côté fait parvenir des cadeaux à la jeune fille. Rubi Ibarra Garcia a même fait l'objet d'un personnage principal d'un jeu vidéo téléchargé des milliers de fois en seulement quelques heures.

Finalement, environ 10.000 personnes ont assisté ce lundi 26 décembre à la fête d'anniversaire des 15 ans de la jeune Mexicaine qui a tout de même pris l'allure d'un immense show avec feux d'artifices, immense banquet traditionnel et concert sur une scène spécialement aménagée avec écran géant.

La quinceañera a cependant été endeuillée par un accident survenu en milieu de journée lors d'une course de chevaux qui a fait un mort et un blessé. « Deux personnes ont pénétré sur la piste et ont été heurtées par les chevaux (...). L'une d'elles est décédée et l'autre a été hospitalisée avec une fracture de la jambe », ont indiqué les autorités de l'État de San Luis de Potosi dans un communiqué. Malgré cet accident, la fête s'est poursuivie comme prévu. Des forces de police locales et fédérales avaient été mobilisées pour assurer la sécurité de l'événement. Une chose est sûre : cette adolescente se souviendra de sa quinceañera.

Les photos de la fête

En vidéo, l'invitation de l'année

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Kim Kardashian poste sa première photo depuis son agression à Paris

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La star de télé-réalité Kim Kardashian en train de prendre un selfie, au côté de son mari, la rappeur Kanye West, en vacances à la Havane. (Cuba, 4 mai 2016.)

Hier, et exactement trois mois jour pour jour après son braquage à Paris, la vedette de télé-réalité a refait surface sur la toile, en publiant une photo d'elle entourée des siens.

De l'ombre, à la lumière. Ce lundi 3 janvier, Kim K a fait son très attendu come-back sur les réseaux. La star de télé-réalité a posté une photo d'elle, entourée de son mari Kanye West et de ses deux enfants, North, 3 ans, et Saint, 1 an. En moins de 14 heures, le cliché, publié sur son compte Instagram – et sur Twitter et Facebook – compte déjà plus de 3 millions de like.

Nouvelle année, nouvelle Kim ?

La nuit du 3 octobre 2016 avait signé son retrait de la vie médiatique de Kim Kardashian - qui a oublié le braquage dans sa chambre d'hôtel parisienne. Depuis trois mois, jour pour jour, rien. Silence radio. Jusqu'à ce post Instagram : une photo légèrement floue et sobrement légendée «famille».

Et entre temps...

D'octobre à janvier, que s'est-il passé dans la vie de la socialite américaine ? Kim Kardashain a d'abord soufflé sa 36e bougie, le 21 octobre 2016. Quelques jours plus tard, elle et Kanye West renvoyaient leur bodyguard attitré, Pascal Duvier, après plusieurs années de bons et loyaux services. En décembre, la rumeur d'un possible divorce entre les deux stars planait sur la blogosphère. La vedette de télé-réalité – en pleine crise existentielle – n'aurait pas supporté le séjour de son mari en hôpital psychiatrique.

Le 12 décembre, ses fans ont pu la retrouver en lingerie ajourée, dans un clip pour le magazine britannique LOVE. Récemment, le maquilleur Mario Dedivanovic publiait sur son compte Instagram une photo du postérieur de la jeune femme lors d'une séance make-up peu ordinaire. Hier, Kim Kardashian – en pleine convalescence médiatique – refaisait donc surface, pour le meilleur comme pour le pire...

La scandaleuse vie de Kim Kardashian

L'adorable vidéo de Kim Kardashian en famille

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